La presse avait déjà indexé les NST ( Notes Sexuellement Transmissibles) à l’université des Comores en citant des témoignages anonymes.
Cette fois, c’est une victime supposée qui accuse les éminences. Et ce n’est autre que la chanteuse Malhat. Dans une interview à « Femmes des îles », elle règle ses comptes à un « haut responsable de l’Université » ;
Il « me harcelait de manière vraiment insupportable. En plus, il sortait avec une de mes copines ainsi qu’avec d’autres étudiantes. Il pensait pouvoir le faire avec moi… », accuse-t-elle.
« … Des appels à chaque fois et des menaces. Il n’a pas arrêté de me dire qu’il ferait en sorte que je redouble…. », poursuit la chanteuse qui affirme avoir quitté l’université avant terme pour cette raison.
Ali Moidjié
il faut réagir très rapidement. ces sont nos soeurs qui sont actuellement victimes. encore, faut-il comprendre que c’est un danger non seulement psychologique et social pour les victimes de ce fléau mais aussi pour leur devenir car ce sont nos dirigeants de demains. quand on donne des notes qui sont pas à leur mérite, c’est grave aussi pour le pays.
Ah du courage mademoiselle dans notre pays ce système s’est fait légalisé c’est honteux que même avoir un dossier administratif il faut se donner pour avoir se dont on a droit. On est avec vous.c’est comme ça que ces voyous mettront fin àleurs ddroits fessiers .Mais avant ça avons nous des médias et juges capables de croire aux viols de ces femmes comoriennes