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​Signature d’une Convention de coopération décentralisée entre le Conseil départemental de l’île de la Réunion et le Gouvernorat de l’île Autonome de Ndzuwani

Ce lundi 09 octobre 2017 lors des rencontres de l’internationalisation de la Coopération Régionale tenues à Paris, les trois Gouverneurs de l’Union des Comores ont renouvelé leur Convention de coopération décentralisée avec le Conseil Départemental de la Réunion, en présence de plusieurs personnalités dont la nouvelle Ambassadrice de France aux Comores, du premier Conseiller de l’Ambassadeur des Comores en France, de la présidente du Conseil départemental de la Réunion, le Président de Cités Unies France et l’Association des Maires des Comores.

Cette convention qui prend le relais de l’accord cadre conclu le 14 octobre 2014, concerne les secteurs de:

– La sécurité alimentaire 

– Le Medico-social 

– L’éducation/culture/sport

– L’insertion sécurité civile

– L’appui institutionnel 

– Le développement économique et touristique durable : 
L’association des Maires des Comores a par la suite procédé à la signature d’un protocole d’accord de formation des élus locaux comoriens.

Gouvernorat d’Anjouan 

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1 commentaire sur ​Signature d’une Convention de coopération décentralisée entre le Conseil départemental de l’île de la Réunion et le Gouvernorat de l’île Autonome de Ndzuwani

  1. SUPPRIMER LA TOURNANTE EST UNE DÉMARCHE TRÈS RISQUÉE POLITIQUEMENT.Cependant, deux hypothèses peuvent être utilisées pour tenter de la supprimer :

    La première qui est la plus plausible est celle d’un coup d’État. Car, perpétré un coup d’État permettra à celui qui le fera de dissoudre les institutions. Cette dissolution engendrera la disparition de la constitution. Par conséquent, le putschiste convoquera une assemblée constituante pour réfléchir sur une éventuelle constitution. Cette voie est plus avantageuse dans la mesure où l’armée sera déployée pour maintenir l’ordre. Et comme la population craint toujours l’armée pendant les coups d’État, il sera aussi facile de maîtriser l’opposition.

    En effet, l’opposition est forte quand le peuple se met derrière elle. Or, quand un coup d’État à eu lieu, l’armée se trouve dans un état de nervosité et les citoyens prennent leur distance vis à vis de cette dernière.
    Donc, la constitution comorienne se modifiera si un coup d’État a eu lieu.
    Il s’agit de la voie illégale.
    En revanche, un démocrate avisé peut passer par Une voie légale et légitime. Ce chemin est celui du référendum. Or, cette option exige une personne très populaire. Et elle doit l’exposer clairement dans son programme présidentiel. Ce choix fera l’objet d’une argumentation claire, notamment sur les dépenses astronomiques liées aux deux gouvernements. Ce choix référendaire n’est pas propre à tout le monde. Il peut être utilisé par un leader comme l’ancien président SAMBI au début de son futur mandat. Car, il sera non seulement populaire mais aussi il est capable de convaincre la population. Il ne faut pas attendre la fin de l’élection mais, l’annoncer pendant la campagne électorale.l’opposition ne refusera pas car il s’agit d’une consultation démocratique. Sinon, celui qui osera s’attaquer à la constitution sans passer par l’une de ces deux voies perdra toujours la guerre. Azali ne changera jamais la constitution sans un coup de force. Car, il a déjà montré ses muscles. Il avait la possibilité d’utiliser l’art de la simulation et de la dismulation pour induire des adversaires en erreur. Il fallait négocier avec sambi avant le départ de ses ministres. Il s’agissait de leur promettre la restitution du pouvoir afin d’accepter de soutenir le projet de supprimer la tournante. Mais, azali est loin d’être un stratège. Car, il n’a pas compris ni Sun Tzu avec l’art de la guerre ni Machiavel avec le Prince. Si les hommes et femmes qui entourent le dictateur avaient maîtrisé parfaitement ces deux auteurs ils auraient été à la hauteur de l’événement.

    Il est donc, trop tard et trop risqué pour modifier la constitution sans passer par l’une de ces deux options.

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