Plusieurs jours, voir des semaines, sans un.brin de lumière dans les autres villes et villages de Ngazidja.
Combien de morts dans les hôpitaux faudra t il pour interpeller la conscience des autorités ?
Combien de petites entreprises, petits commerces, restaurants et hôtels doivent mettre la clé sous le paillasson pour que les autorités se rendent compte de leur inertie dans la réponse à l’ urgence, au court terme, moyen terme et long terme ?
Que reste t il des milliards kmf de don Saoudien, de don.Japonais, de l’ appui.de la BAD, de la vente de la licence Télécom…. Etc.
Ne faudra t il pas pallier à l’ urgence et appuier encore pour quelques mois la Mamwe le temps de se redresser ? Ne faudra t il pas faire de ce secteur structurant pour le développement économique une priorité ?
Fakriddine .A
mes chers compatriotes, s’il y en a qui pensent qu’il pourrait avoir un miracle dans ce pays sans efforts c’est à dire sans justice, qu’ils nous démontrent en s’appuyant par d’épreuve d’un seul pays au monde.
Il est claire qu’aujourd’hui nous parlons de démocratie pour écraser la démocratie. Des patients qui meurent pas par la maladie mais par négligence collectif à commencer par Monsieur le président de la république jusqu’au petit employé de bas salaire. C’est scandaleux!!!nous parlons des patients qui meurent parce qu’il n’y pas d’électricités mais nous oublions la consommation des denrées alimentaires (principalement la viande)décongelées et recongelées qui provoquent autant des malades et des morts lents sans qu’il y ait justice horrible.
J’aime bien la paix mais à ce stade, je préfèrerai qu’il y ait une révolution, peut-être nos enfants goûterons ses fruits et prieront pour nous.
si je dis ça, c’est parce que ma mère faisait partie malheureusement de ces victimes dernièrement que dieu repose son âme en paix.
chers compatriotes. inquietude et frustration dans nos coeurs