Selon la journaliste Faiza Youssouf, » plusieurs membres de la Ceni sont actuellement en garde à vue à la gendarmerie. Arrivée sur les lieux, on m’a refusé l’entrée mais des témoins qui étaient là « m’ont affirmé avoir vu un membre de la Ceni originaire de Mitsamihuli » sans me citer le nom.
Il a rajouté que » 4 autres membres de la commission électorale étaient également retenus dans les locaux de la gendarmerie ». Il s’agirait toujours selon le témoin oculaire, » du président de la Ceni, de son secrétaire général, de Dafine et de Mme Zainaba ».
Leur arrestation se serait faite sur la base du rapport de la cour des comptes qui faisait état de 150 millions de dépenses non justifiées. Plus d’informations à venir. »
Quelques heures après les déclarations du journaliste Faiza.
Pour Toyb Ahmed, ancien journaliste « DEUXIÈME ALERTE INFO DE LA SOIRÉE
Alors que des membres de la CENI viennent d’être arrêtés par la gendarmerie, maintenus vraisemblablement en garde à vue, une somme colossale aurait été retrouvée dans le domicile d’un commissaire influent de cette commission chargée de l’organisation des élections.
Selon certaines sources, l’arrestation plus les perquisitions faites dans la foulée, ont permis à la brigade d’enquête de la gendarmerie de mettre la main sur 250 000 euros en liquide soit plus de 122 millions de francs.
L’ancien gouverneur de Ngazidja, Mouigni Baraka est lui sur le viseur de la Justice. Il est convoqué lundi 10 octobre au parquet de Moroni.
La nuit est définitivement agitée à Moroni… »
Pourquoi Azali et SAMBI sont libre de leur mouvement ? Si Fahami était un homme honnête, il aurait diligenté une enquête préliminaire sur les 40 millions euros dissimulés à l’étranger par Azali assoumani. Autre enquête préliminaire, il s’agit de mollah SAMBI. Selon une journaliste d’investigation, SAMBI aurait échangé plusieurs passeports avec une somme de 360 millions euros qui sont ensuite protégés à l’abris des regards indiscrets. Fahami doit s’expliquer pourquoi, les comoriens vivent avec une justice à géométrie variable ? On peut dire que pour fahami, il voit la facilité d’arracher une plante de maïs qu’un baobab.
dabor. cet argent trouvé doit être retourné aux comptes de l’Etat mais ça ne doit pas faire l’objet d’un autre détournement.
puis continuer d’autres proceduires de saisie de leurs bien.
Toute détournement du fond public les hauteurs devraient répondre les faits qui se reprocher devant les juges merci