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Abdallah Agwa pourrait être assassiné en prison sur ordre du président Azali

Recherché par la gendarmerie et la police, Abdallah Agwa prend en témoin la population dans une nouvelle vidéo publiée ce samedi 6 janvier sur son assassinat préparé par le président Azali. Le directeur de la Radio Labaraka Fm est actuellement en cavale. Dans cette vidéo, Abdallah Agwa dit qu’il ne se rendra pas à la gendarmerie.

 

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4 commentaires sur Abdallah Agwa pourrait être assassiné en prison sur ordre du président Azali

  1. Nous sollicitons l’aide de l’ambassadrice française auprès de l’Union des Comores pour protéger la liberté d’expression.

    Abdallah Agwa est en danger de mort. Cette figure montante de la liberté d’expression mérite une protection. En effet, sa vie est menacée par la dictature du colonel azali assoumani Mougabe.par conséquent, ce dernier doit être préservé contre un assassinat éventuel.

    Abdallah Agwa est considéré par le colonel azali assoumani Mougabe comme étant son ennemi juré. Celui-ci, s’explique par les informations délivrées aux citoyens par ce journaliste. C’est ainsi que la dictature prônée par azali assoumani Mougabe fait tout pour décapiter Abdallah Agwa.
    Par ailleurs, nous informons aux associations des droits de l’homme et celles qui défendent activement la liberté d’expression à s’occuper du journaliste comorien menacé de mort.
    Mais en dépit de son travail, aucune association ne lève le doigt pour dénoncer ce que l’on appelle la tuerie de la presse. Il faut dire que cet homme courageux car, ce n’est pas n’importe qui auquel oserait défier un régime dictatorial.Et pourtant, cet homme a réussi ce que l’on croyait impossible il y a une décennie. Son courage fait trembler le régime corrompu du président azali assoumani Mougabe. Nous demandons au dictateur local azali assoumani Mougabe de se retenir. Car, le monde observe attentivement la situation comorienne. Sachez bien vous citoyens que vous avez le droit et le devoir de désobéir ce régime en situation mourante. Vous devrez boycotter ses assises afin de plonger son régime dans un chaos. Huez le partout où il se trouve, car c’est la seule solution pour faire douter ses entreprises de division. Peuple, comorien l’heure est arrivée pour se manifester afin de se faire aider par l’opinion internationale. D’autant plus que l’instabilité politique pourrait faire tomber ce régime. Car, le droit d’ingérence demande d’abord que le peuple se révolte. Il faut que vous sachiez que le dictateur local azali assoumani Mougabe est plus qu’un homme peureux. Il suffit une semaine de manifestation pour faire vaciller le régime.

    Bref, nous sollicitons l’ambassadrice française auprès des comoriens pour protéger les valeurs universelles défendues toujours par la France. Car, ces dernières font le rayonnement de ce pays. Vous ne pouvez pas rester inactive face à une situation journastique chaotique. Vous êtes la gardienne du temple de la liberté. La France pays des droits de l’homme à toujours eu son mot à dire lorsque les valeurs universelles sont bafouée. Vive la liberté d’expression et courage Abdallah Agwa.

    • Cher Mmadi,
      Arrêtons d’être naifs. La France n’est l’amie de personne et d’aucun peuple si elle n’y a pas d’intérêts. En plus, plus il ya des problèmes aux Comores plus cela arrange la France impérialiste pour justifier l’occupation de l’île comorienne de Mayotte et plus cela conforte les séparatistes maorais (1). Pourquoi demander le soutien du pays qui a toujours déstabilisé les Comores depuis 1978 avec au moins 4 présidents tués (Ali Soilih, Ahmed Abdallah, Said Mohamed Djohar (empoisonné le lendemain de sa décision de venir témoigner en France contre les mércénaires français), Taki Abdoulkarim dont la mort était annoncée et connue avant son empoissonnement en Suisse? Ouvre les yeux mon ami pour mieux comprendre le monde dans lequel nous vivons. Tu veux ta liberté? Alors il faut la défendre, l’arracher comme l’ont fait d’autres citoyens, dans d’autres pays au lieu d’attendre qu’on viennent nous défendre… S’agissant d’Abdallah Agwa, il ne fait pas de la politique. En politique, on n’insulte pas les gens quelque soit leur comportements, leurs agissements… C’est ainsi qu’il prendra de la hauteur, s’il veut prendre de la hauteur politique car pour l’instant, c’est un agitateur. Moi je soutiens sa résistance face à la dictature du petit colonel Azali mais pas du tout les insultes.
      Mustapha

  2. Monsieur le Président dictateur,
    Par ce présent message, je viens vous alerter que la chasse aux journalistes pourrait être considérée comme crime contre l’humanité.
    En effet, ces derniers sont pris pour cible à cause de leur travail. Bien sûr que leurs investigations dérangent d’une part parce qu’ils font la lumière sur votre projet de déstabilisation. Et d’autre part, parce qu’ils risquent de compromettre votre dictature.
    Il faut dire que la situation politique comorienne est inquiétante.
    D’abord, elle menace la cohésion sociale. Car, l’implosion du pays est plus que probable. Preuve en est que vous avez usé tous le moyens les plus indignes pour museler les Comoriens notamment les journalistes et vos opposants politiques.

    Par ailleurs, bon nombre de journalistes sont frappés, intimidés voire emprisonnés, à cause de leurs métiers. Il faut insister que faire le travail d’un journaliste aux Comores est devenu plus dangereux qu’en lybie, en Syrie ou en Iraq. Parallèlement à cela, vivre sous le régime du dictateur azali assoumani Mougabe est très angoissant. Car, il n’y a pas de justice pour juger. Il s’avère que les juges du moment sont azali assoumani Mougabe et sa femme. Ils ont le monopole des tribunaux. Personne n’a droit de critiquer le neopotisme et la gabegie financière du couple présidentiel. Ce pays devient depuis l’année dernière une zone de non droit. C’est ainsi que beaucoup de journalistes travaillent avec des boules au ventre. Il faut souligner l’incident provoquer récemment par Mr KIKI. Ce dernier a frappé violemment un journaliste. Et aucune enquête n’a été menée pour démêler le vrai et le faux. Mais, encore une fois ce sont les journalistes qui payent pour informer le peuple.

    Mais, en dépit de ces menaces dans ce pays le plus démocratisé au monde prétendent elles les autorités comoriennes, certains journalistes n’hésitent pas à mettre leur vie en danger pour informer la population.

    D’où la recherche à tout prix de nettoyer les journalistes qui dérangent.
    Aujourd’hui, le journaliste Abdallah Agwa est devenu l’ennemi numéro un du pouvoir en place. Son méfait est d’informer le peuple du face cachée du dictateur azali assoumani Mougabe. Je tiens d’abord à lui rendre hommage. Car, malgré les intimidations et son incarcération à répétition, il tient bon. Je tiens à lui préciser que moi même, je pratiquais la désobéissance civile. Nous appelons donc, le président comorien à la retenue en privilégiant la raison plutôt que la dictature de l’émotion. En effet, azali assoumani Mougabe est entrain de martyriser ce journaliste Abdallah Agwa. Or, nous n’allons pas baisser les bras et laisser un journaliste se faire assassiner par ce qu’il fait son travail. Bientôt, nous alerterons les médias français afin de relayer cette dictature dans les médias. Nous connaissons des journalistes français humanistes capables de propager la situation à laquelle se trouve les journalistes Comoriens.

    Sachez que l’arrivée des sorciers au Palais présidentiel afin d’eterniser le pouvoir du dictateur azali assoumani Mougabe intéressera les journaux occidentaux. Même, les médias universitaires. Comment un président peut tomber aussi jusqu’à recruter des sorciers pour garder les règnes du pays?

    Tout cela montre un président cynique, dictateur, voleur, menteur voire criminel. Mais, Laurent bagbo, Blaise Compaoré, Ben Ali, Moubarak, votre frère Mougabe, Saddam, KADAFI tous ont voulu s’accrocher au pouvoir. Toutefois, ces derniers furent châtiés et humiliés par les forces inconnues. Monsieur le Président, si vous ne voulez pas se faire la même humiliation comme ce que vous avez fait à votre ancien frère d’arme Appache, quittez le pouvoir dignement. Car, vous connaissez pas mal d’informations. Ces dernières seront les causes de votre départ par les armes. D’autant plus que vous avez trahi vos engagements.

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