Le discours tenu par le vice-président, Djaffar Ahmed samedi à Mrodjou a mis en lumière plusieurs points et a confirmé plusieurs détails que d’aucuns affirmaient la véracité à tort et à travers mais que le pouvoir en place se donner les moyens de nier catégoriquement. Le vice-président a notamment réagi sur l’organisation des assises en confirmant que certaines recommandations étaient connues d’avance à commencer par la suppression de la cour constitutionnelle et les modifications de la présidence tournante.
« J’ai dit à plusieurs reprises affirmé ma désapprobation quant aux nombreuses reformes engagées mais à un moment donné, j’ai dû me résoudre à observer » a-t-il dit à Mrodjou. Aujourd’hui nous comprenons que les décisions de reconduire Djaza Ahmed à la tête de la Ceni, de supprimer l’organe de lutte contre la corruption ou encore d’en finir avec la cour suprême étaient prises depuis Beit-salam. Abdallah Msa était donc chargé de les légitimer.
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