Al-watwan est de mèche avec le directeur de cabinet du chef de l’État, chargé de la défense , porteur d’un discours incendiaire dans l’affaire Bapalé, ce militaire à la retraite décédé dans des circonstances troubles. Sur toute une page, le journal qui a décidément pris position pour Youssoufa Mohamed Ali prend faits et cause pour lui en page 2 laquelle, avec la page 3, est réservée aux nouvelles d’une grande importance. Quant au communiqué de Houmed Msaidie, porte-parole du gouvernement, info la plus fraiche et qui est censé être la parole officielle, il est rélégué à la page 5 du journal alors que celui-ci a vainement tenté d’apaiser les tensions.
En un mot comme en cent, Al-watwan a fait le choix de souffler sur la braise dans cette contestation.
Toufe Maech
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