Le juge Aliamani Ali Abdallah concentre tous les caractéristiques d’un juge qui trempe dans la corruption de bas étage. En effet, c’est un juge au passé douteux et aux actes corrompus. N’oublions pas qu’il a été viré sans management par son ministre de tutelle d’alors Fahami Said Ibrahim pour s’être rendu coupable d’une irruption dans une propriété privée pour importuner les locataires.
Remis en place par Azali Assamouani, (va savoir pourquoi), il démontre avec l’affaire de la citoyenneté économique, qu’il est un être manipulable et corruptible. Sinon, il faudrait nous expliquer pourquoi il a dû annexer la maison de Sambi à la prison de Moroni alors qu’il n’a pas eu cette ingénieuse idée s’agissant de Mamadou. Rappelons qu’il avait ordonné le place de Mamadou en détention à la prison mais que convaincus que ce juge est tout sauf apolitique, les deux procureurs avaient permis à l’ancien vice-président de rentrer chez lui. Aliamani n’a pas eu la décence de démissionner ou du moins, laisser l’affaire de la citoyenneté. Il a affiché son incompétence notoire.
COMORES= CORRUPTION, il n’y a pas d’autre mot à dire.
Et je defie celui qui me demontrera le contraire.
Je ne jamais entendu le mot juge le plus corrompu , j’ai l’habitude d’entendre le juge le plus sévère , donc pour moi un juge soupçonné de corruption ce n’est pas un juge , car un juge c’est celui qui donne justice au prévenus , mais si un juge est corrompu c’est un chef des malfaiteurs ,en tout cas n’oublier pas que tôt ou tard tout le monde passera devant le vrai juge , celui qui juge la vérité , celui qui n’a pas besoin d’un avocat ou un greffier ,malheureusement les autorités comoriens font semblant qu’ils sont sourdent et aveugles et devant dieu le vrai juge , il n’y aura pas personne atteinte par la maladie d ‘hexaimer chacun lira son livre sans soutenance .
le temps le jugera