Pour ou contre, Il n y a aucun ombre de doute, la machine est déjà en marche. Mais Contrairement a ce qu’Azali a laissé entendre aux Anjouanais, « venez avec vos propositions pour défendre la tournante », il serait mieux au contraire de venir avec des ambulances car une fois qu’on va découvrir le vrai visage et le but caché derrière ces assises nationales, des arrêts cardiaques vont terrassés.
Comment peut-on imaginer un seul instant que nos politiciens pensent autrement ? Les mêmes diables politiques qui ont précipité notre pays dans la misère peuvent ils soudainement devenir des hommes nouveaux ?
Maintenant que la question est de savoir quelle horrible ignominie nos dinosaures vont encore pondre comme accord politique, il va sans dire que si nos ancêtres sont entrés dans l’histoire pour avoir arraché l’indépendance aux mains d’une puissance ennemie, la génération comorienne aujourd’hui est dans le livre Guinness des records en ayant la mémoire la plus courte du monde ?
Et pour dire les choses telles qu’elles sont, organiser des assises nationales, cest placer toujours notre confiance a nos politiciens. Ainsi, la question qu’on peut se demander, sommes nous fier de vivre et mourir sans savoir c’est quoi la dignité d’un peuple ? Trahis incessamment par nos leaders,créateurs de notre terrible misère, notre grand(e) inconnu(e) est celui qui va nous mobiliser et sonner la révolte contre l’ignominie de cette classe politique répugnante.
Les assises nationales sont elles déjà émaillées de calculs politique ?
La question rend plus urgent car déjà, le scenario honteux post assises nationales donne envie de vomir. Le fait qu’Azali achète au rabais tous les voix dissidentes doit interpeler tout un chacun pour se demander si les résolutions ne sont pas déjà tronquées d’avance? Pas de nuance: la couleur est déjà donnée par Moustadrane lorsqu’il a jeté le veau pour garder le placenta. Il s’est adressé a ses compatriotes en interpellant ceux qui s’opposent à Azali « de prendre des kwasa kwasa pour aller se faire tuer en mer vers Mayotte » plutôt que de subir les affres d’un « colonel », a t’il insisté sur l’adjectif du président.
Quel courant se veut les assises nationales ?
Ce questionnement est essentiel car Azali accumule les déboires. Apres avoir juré de défendre son bébé « la tournante » il n’a pas hésité un mois après d’affirmer qu’il est fatigué de « l’éternelle recommencement de la tournante ». Bref, sa position est pour le moins floue. Tout est mis en œuvre dans un stratagème qui consiste à éviter à tout prix le débat public sur le font et la forme de l’idiocratie politique qui va remplacer la tournante. S’achemine t on vers un changement radical de système politique ou des reformes superficielles en grignotant la tournante avec l’impératif de permettre à Azali de s’accrocher au pouvoir ?
Azali nous tiens par la gorge .Nous lâchera t il ?
Coïncidence étrange, à chaque fois qu’Azali prend le pouvoir, le pays est plongé dans les tourbillons de la division. Surnommé le boucher de la haine, après avoir appelé les grands comoriens à dépecer les anjouanais dans l’opération « ndrimo », aujourd’hui c’est entre les belles jambes des filles anjouanaises qu’on insémine la haine pour quelles espionnent leurs propres maris. À travers l’opération épuration des opposants d’Azali, la fin justifie les moyens. Dans ce plan réglé comme une horloge, l’argent coule à flot et les pros Azali sont grassement rémunérés aux fins d’avoir pour maitresses les femmes des opposants aux assises nationales.
Tous les comoriens le veulent et personnellement je ne suis pas contre un dialogue national. Mais des qu’il s’agit de dire la vérité, pour redresser le pays, on doit songer tout d’abord a se débarrasser des politiciens qui traînent des pieds. Faire un bilan des 42 ans d’indépendance ne réside guère à jouer les féticheurs qui croisent les bras en attendant l’arrivé d’un messie politique ou d’une solution miracle. Notre pauvreté est intrinsèquement liée à la mauvaise gouvernance. Outre, il s’agit et il faut rependre les grands remèdes pour contrer les grands maux. Des lors, la question du jour est de savoir si Azali après avoir accompli le 5eme pilier de l’islam, va t il retrouver les vertus d’un président de caractère ou rusera t il davantage avec les comoriens ?
Par CAP Patrie
QUI AURAIT SONGÉ UN DJAFFAR AHMED VICE_PRESIDENT S’IL N’YAVAIT PAS LA TOURNANTE.
Ce natif D’itsandra mdjini est appelé à dire Merci tournante. Celle-ci lui a donné des ailes pour mépriser ceux qui n’ont pas mis un vote du Colonel putschiste.
Ce vice-président atypique s’en prends à toutes les personnes qui n’ont pas voté pour le dictateur Notamment, les gens de sa région. Il se voit au dessus de tout le monde et pense que l’administration comorienne est un patrimoine D’itsandra mdjini. Il ne cesse par mesquinerie d’injurier ceux qui ont quitté son parti CRC. Parallèlement, il demande leur congédiement au profit de certains crétins.
Il faut dire que le pouvoir est un passage, mais surtout un contrat dans lequel il peut tomber du jour au lendemain. C’est le cas du pouvoir de Laurent de Médicis. Si vous avez lu le Prince de Machiavel, vous verrez comment un pouvoir se gagne ou la manière de le perdre.
Le pouvoir peut chuter à tout moment. Et nul ne peut prédire avec certitude ce qui arrivera demain. D’ailleurs, azali lui-même n’est pas sûr qu’il sera là demain. Puisque demain nous serons tous morts selon la boudate d’un économiste Anglais Keynes.
En politique, il faut rassembler plutôt que désunir les gens. D’autant plus qu’en politique tout est possible. Nous assistons au cas de msaidie de maweni mboude. Il a dit lors de la campagne électorale qu’il allait chercher les clés que azali avait oublié à la présidence de la République lors de sa première mandature. Pourtant, ce même msaidie à publié le Prince de msaidie afin de se faire intégrer au gouvernement. Il s’agit du machiavélisme pure et simple.
Il faut dire donc,que certaines villes D’itsandra hamanvou ne sont pas atypiques. Il faut s’en méfier Mr le vice-président. Ceux qui se disent en coulisse ne pourront jamais être gardés dans une valise car, tant que des individus sont présents, il y aura toujours des fuites.
Pensez vous que le pouvoir s’éteindra un jour.
Vous avez vu l’ancien président Abdallah, il fut assassiné à 500m de chez vous.
Bref, utisez votre héritage qui n’est autre que l’État comorien à bon escient. En outre, il ne faut jamais mépriser la deuxième ville de la région. Car, azali ne sera jamais en harmonie avec la population de cette ville.