Après avoir gracié des prisonniers condamnés à perpétuité, le chef de l’Etat comorien Azali Assoumani serait sur le point de faire libérer l’ancien président Ahmed Sambi, placé sous mandat de dépôt depuis plus d’un an. Cette décision pourrait intervenir avant le départ d’Azali Assoumani aux États-Unis dans le cadre de la 74e session de l’ONU, dont les travaux débutent officiellement le 17 septembre prochain. Dans son propre camp, les avis divergent. Parmi ceux qui soutiennent la libération de l’ancien raïs dont l’état de santé se détériore, figure le ministre des affaires étrangères Amine Souef. La pression internationale est aussi au rendez-vous dans ce dossier le plus important de la justice comorienne accusée d’avoir détenu « arbitrairement » un ancien président par le département d’Etat américain pour ne citer que celui-là. Ainsi Azali voudrait-il montrer pattes blanches avant de se rendre à la tribune de l’ONU pour qu’enfin il puisse discuter du développement du pays avec ses homologues au lieu de se voir interroger sempiternellement sur le cas Sambi.
meme si il fait comment mais la vengeance n’ira pas dans le jugement dernier ( KISSOI CHA KAINA HUENDA KYIAMA) EBA DE VANU DUNYIA LALA UNONO