Mtsoudjé et Chouani sombrent dans le chaos , Azali et Boléro se déchirent.
De sources dignes de foi, c’est l’officier loukmane fils du colonel Azali qui aurait pris le devant pour aller saccager Chouani. Des officiers en colère montent au créneau et exigent des sanctions à l’encontre du fils du colonel qui a abusé de ses galons pour cautionner cette mascarade.
Quand des autorités sont incapables de gérer leur localité ils prétendent vouloir encore une fois gérer un pays, c’est ce que l’on entend dans la bouche des villageois de ces deux villages.
Un jeune cadre très remonté contre l’arrogance de cet officier critique la faiblesse du directeur de cabinet et chargé de la défense, qui n’arrive pas à contrôler son soldat ici où là règle de conduite est : » la réclamation n’est permise que lorsqu’il y a subordination. »
Et pendant que le pays est en feu avec ces événements tragiques, le batiti en charge de la santé, préfère être pilote comme Boina iki qui fut les aides pour être à l’extérieur. Tous deux mohéliens, et comme on connait la nature de ces derniers quand il s’agit de se protéger entre eux, ils seront solidaires pour rejeter leurs responsabilités, et ne manqueront pas de dire, puisqu’ on est mohélien, on a droit à toutes les attaques ! Ainsi va la tournante.
Hamada Assoumani
Bonjour
Je demande aux bons citoyens des Comores de rester prudents. Une tige d’allumette peut brûler tout un pays.
Merci