Jamais le chef de l’État ne laisse échapper une occasion en public de se moquer de l’opposition et des anjouanais qui réclament la présidence tournante en 2021. Dans son allocution en langue nationale à l’occasion de la énième lancement sans suite d’un plan de développement des Comores, le locataire s’est lancé encore une fois à un jeu de moquerie en destination de l’île d’Anjouan où devait échoir la présidence tournante en 2021.
« Il n’y aura pas d’élections avant 2024. Ceux qui veulent des élections doivent se rendre en amérique pour les élections de cette année ou se présenter en France pour les élections présidentielles de 2022. Aux Comores, nous aurons des élections mais en 2024 et en 2025 », Azali Assoumani.
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