C’est une histoire folle…. une affaire de mœurs impliquant une greffière au tribunal de Moroni, un mari volage et une femme trompée. Cette dernière qui a intercepté des photos pornographiques de son mari et cette femme greffière en plein ébats sexuels décide de les publier sur les réseaux sociaux.
L’opprobre jaillit sur la place publique. Le tribunal se saisit de l’affaire, la femme trompée sera gardée à vue en attendant que l’affaire soit jugée. L’amante, elle, continue à vaquer à ses activités comme si de rien n’était. Et pourtant, nous confie un juriste de la place, il y a là une incompatibilité entre le comportement déplacé de cette femme greffière et donc assermentée et son activité au tribunal. Le procès se tiendra dans quelques minutes à Moroni, les juges voulant, visiblement, sauver ce qui reste d’honneur aux différents protagonistes de cette affaire auraient décidé de juger l’affaire à huis clos. »
Il faut que nos juges comprennent qu’ils ne peuvent pas s’enfermer dans une chambre et juger comme bon leur semble », tonne notre interlocuteur. Affaire à suivre…
Faissoili Abdou
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