Le service de communication de la CCIA ANJOUAN a effectué des visites dans plusieurs coins de la ville pour en discuter et vivre la réalité de chez les petits commerces informels, dans la capitale, aujourd’hui.
Plusieurs vendeurs surtout ambulants déclarent qu’ils doivent être reconnus administrativement et bénéficier des droits à l’égard des institutions sensées les encadrées. Un cordonnier, vendeur des sandales et habits tout mode sis à Missiri témoigne que «nous contribuons beaucoup à l’économie du pays» et en outre revient se plaindre sur « le manque des formations de base pour une vraie et solide petite économie».
Dans le vieux temps rappelle ce dernier que la CCIA ANJOUAN formait tout le monde. Un voisin à ce dernier dit « On nous avait formé comment bien utiliser c’était à Moroni aux années passées »
Ccia Anjouan
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