La conférence des chefs d’Etat, et de gouvernement de l’Union Africaine « RAPPELLE l’environnement paisible dont jouissent les Comoriens à la suite de l’adoption de l’Accord de Fomboni de février 2001 et suivie de la Constitution comorienne et SOULIGNE FERMEMENT la nécessité de les respecter en permanence. La Conférence EXHORTE les parties prenantes à engager le dialogue sans délai et à mener une consultation inclusive sur les réformes constitutionnelles, sous les auspices de l’UA. Dans ce contexte, la Conférence DEMANDE au Conseil de paix et de sécurité de l’UA de continuer de suivre étroitement la situation aux Comores ».
Autrement dit, l’Union africaine observe attentivement, mais ne peut rien imposer.
La diplomatie comorienne a réussi à faire modifier le premier communiqué qui recommandait le report du référendum.
Masiwa Komori
nous ne croyions pas l’ UA en 1997, PIERRE Yéré avait joué un role de mediateur et pourtant c’est, il était venu bruler le feu entre le gouvernement du feu Mohamed Taki Aboulkarim et les Anjouanais .KWAHERINI si vous attendrez cette organisme, atteindrai le feu
quelle UA? l’OUA SAIT TOUS CE QUI SE PASSE AUX COMORES MAIS ELLE FERME LES YEUX
L’UA, étant signataire de l’Accord de Fomboni et membre de son Comité de suivi est à même d’exiger sa participation dans toute reforme relative audit Accord qui a assuré harmonieusement, la stabilité politique et socioéconomique de l’union des Comores de 2001 à ce jour.
D’autre part en sa qualité d’organisation jouissant d’une place privilégiée au sein de la communauté internationale, l’UA se trouverait dans l’obligation de ne pas valider le référendum du colonel AZALI et pourrait engager des sanctions à l’encontre de son régime.