Opinion libre: Après plus de 5 jours de garde à vue, cinq personnes viennent d’être placées en détention provisoire cet après-midi et trois autres sous contrôle judiciaire. Deux civils : l’écrivain Said Ahmed Said Tourqui (Sats) et le petit frère du vice-président Djaffar Ahmed, Me Bahassane Ahmed sont en mandat de dépôt. Et trois militaires : le commandant Faicoil, major Aliani et le sergent-chef Taoufik.
Nourou Tourqui, soeur de Sast et Fahd Dada sont sous contrôle judiciaire ainsi que le capitaine Galaxy. Ce dernier est suspecté d’avoir été informé du projet d’atteinte à la sureté de l’Etat et de n’avoir rien dit. Il ne serait pas directement impliqué à ce stade de l’enquête.
L’affaire a été révélée par les « services de renseignements » et a été envoyée à la gendarmerie pour les « formalités judiciaires ». Il s’agirait, en réalité, d’un dossier qui remonte entre 6 et 7 mois quand les services de renseignements ont repéré des appels entre la France et les Comores mettant en cause la sécurité de l’Etat.
Au début, le plan était de provoquer une mutinerie au camp militaire de Kaandani. Des personnes en France sont donc suspectées d’avoir participé au projet. Des responsables militaires et civiles de premier plan étaient ciblés. Le projet n’a pas pu se réaliser avant le référendum.
Les acteurs présumés auraient repris contact ces derniers jours pour tenter « autre chose ». Le commandant Faicoil aurait été chargé de recruter des militaires pour éliminer des responsables politiques et militaires. Les enquêteurs en veulent pour preuve l’argent liquide que Bahassane a remis à Sast. « Nous ne pouvons pas croire que Bahassane a acheté un terrain et n’a reçu aucun papier qui l’atteste» persistent les enquêteurs.
Certains militaires avertis, soutiennent que c’est un plan qui était, de toutes les façons, voué à l’échec. « Aucun militaire intelligent n’aurait accepté de tomber dans le panneau » a indiqué une source bien renseignée.
Toy Ahmed
la communauté internationale est au pays depuis mercredi pour ramener Azali à la raison , mais comme c’est un président lache , il a pris un kwassa kwassa militaire secretement pour aller se cacher à Nioumachoi mohéli , il a été aperçu dans une plage mohélienne qui s’appelle « Mbouyou wa madji » à l’entrée de Fomboni , il croit fuir la communauté internationale , ses hommes disent à la communauté internationale qu’il est parti faire le Hedji , mensonge , donc ils prennent la communauté internationale comme des enfants , quoiqu’ils fassent , Azali et ses comiques seront pris par leurs propres pièges , qu’ils continuent à faire les scénarios des montages de faux coup d’état et faux attentats , il va quitter 2021 , mort ou vif , le monde l’observe et l’ai à l’oeil , cancre et maudit de président sans honneurs , ni dignité .
ceux qui ont fait appel à tuer tous les opposants à l’exemple d’anrifi sont toujours dans leurs postes où le procureur les a arrêté ! sinon cette justice ne juge que les opposants du régime.
il y aura du boulot après Azali puisque un à un sera jugé en premier Azali,suivi de kiki,le procureur et toute la bande
montage est vrai montage; vrai scénario aux Comores , ça c’est BOLLYWOOD INDIEN
Que la vérité soit éclatée mais comme je connais Azali et son ministre kaka, je crois jamais ces autorités maniaques
Larmée doit sauver ce pays avant l’eclatement