Contesté, le président Azali Assoumani multiplie les arrestations d’opposants, dans le silence assourdissant de Paris.
Dans l’archipel des Comores, à quelques encablures du dernier département français de Mayotte, 2021 aurait dû être l’année de l’alternance, celle du départ du président Azali Assoumani. Mais, par la grâce d’une réforme constitutionnelle entachée de fraudes électorales, le chef de l’État comorien s’est affranchi des présidences tournantes entre les différentes îles. L’opposition, elle, l’accuse d’avoir « tripatouillé » la loi pour se maintenir au pouvoir au moins jusqu’en 2029.
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