L’information n’est pas à prendre avec des pincettes puisque la source n’est pas n’importe qui. D’après un député, les militaires en faction à Anjouan violent des femmes qu’ils interpellent pour des raisons banales. Une fois dans la caserne, la femme interpellée n’est relâchée qu’après avoir subi un viol de la part des gendarmes ou d’autres éléments des autres corps de l’Armée.
Le député affirme aussi que les magasins de l’île d’Anjouan font souvent l’objet de saccage de la part des mêmes militaires. Rappelons qu’à Ngazidja également ces pratiques existent bel et bien. Plusieurs personnes se voient arracher de leurs mains leurs compagnes pendant la nuit dans les rues de Moroni. La honte sociale et les chantages des gendarmes expliquent le silence de ces pauvres victimes.
Mais que fait l’Etat ? Comment cette info peut être transmises de manière si désinvolte ! Il faut faire condamner ces lâches ! La honte c’est le silence de ceux qui savent et ne font rien.
Je dis qu’il est temps à ce que le peuple se revolte contre ces imbéciles de gendarmes à la con , contre ce systeme mafia . Il faut que chacun eguise son couteau , c’est oeil pour oeil et dents pour dents . Le peuple comorien ne doit pas laisser un impuni ce maladresse.