Bis repetita ! Comme il l’a laissé entendre au Palais de Hamramba en disant que des « décisions lourdes et amères » allaient suivre le licenciement des quelques 2886 agents dans les sociétés nationales et établissements publics, Azali Assoumani veut allier les actes à la parole. En effet, des bruis courent partout que le chef de l’État sous la pression des partenaires économiques, envisage de réduire encore une fois les effectifs.
Les salaires étant imposant et qui paralysent toutes velléités d’investissement, le régime se trouverait dans l’obligation de licencier. Le meilleur exemple pour les autres sociétés nationales n’est autre que Comores télécom et les 997 agents misent dehors. Le directeur général de cette société déclarait récemment qu’il a « économisé 250 millions par mois » grâce à ces licenciements. La réinsertion n’est visiblement pas prévue pour demain et le chômage a visiblement des beaux jours devant lui.
A.Athoumane, Comores infos
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