Opinion libre: Chaque année on compte entre 25 à 30 jeunes liquidés dans la seule ville de Marseille surtout dans les quartiers nord. Hier encore, vers 22h 30 un homme de 42 ans a été tué et son petit-frère blessé. Certains parlent de règlement de compte, d’autres parlent de conflits inter gang. Nos élus, comme le député Said Ahamada, préfèrent regarder ailleurs au lieu de porter réponse aux nombreuses questions que les mamans de ces jeunes se posent : pourquoi avons-nous le sentiment d’être abandonnés par l’Etat français dans ces quartiers Nord ? Cet abandon est-il volontaire pour que les enfants issus de l’immigration comorienne s’entretuent jusqu’au dernier ? Comment avons-nous arrivé jusqu’à là ? Mais au lieu de cela, le député Saïd Ahamada s’occupe de la politique internationale comorienne. Quelle diversion !
Pire encore les familles de ces mêmes enfants descendent chaque week-end sur les rues de Marseille non pas pour dire à la République, stop à la mort de nos enfants, stop à la ghettoïsation de nos vies mais juste manifester leur indignation, bien sûr tout est à leur honneur, contre un pouvoir et une politique Comoriens. Ils oublient ce qui devrait être leur premier combat de tous les jours, leur avenir et celui de leurs propres enfants dans ce pays de droit de l’homme qu’est la France. Comme les juifs le font, comme les maliens le font, comme les sénégalais le font…
Ismael Ali Abdou
Propagande contre la diaspora par les gens quici sont payés papr le grand corrupteur Azali traître de la nation
C’est bien beau d’interpeller un député mais en premier lieu l’éducation vient uniquement des parents et non de l’état . L’état fait son travail en France il y’a des écoles gratuites pour ceux qui veulent y aller mais c’est au parents de s’assurer que leurs enfants de 8ans se lèvent le matin pour aller à l’école et y retournent l’après midi et après l’école s’assurer qu’ils fassent leurs devoirs et apprennent leurs leçons c’est comme cela que font les autres parents.Les parents comoriens ont d’autres objectifs plus important que leurs enfants notamment se faire bien voir de la communauté et non essayer d’élever correctement leurs enfants et leur apprenant le goût de l’effort et de le réussite professionnelle et personnelle la fierté de soi même au lieu de se contenter de remplir les prisons françaises s’ils ne sont pas mort avant.Il faut savoir que l’état français ne va rien faire pour cette communauté qui d’entre tue.elke même malheureusement pour nous.Aux parents d’être responsable de l’éducation de leurs enfants et de leurs avenir et non le député Saïd ahamada.
Ce n’est pas nouveau, le »se faire bien voir dans la communauté ». Le mila na ntsi a toujours animé les Comoriens partout où ils se trouvent. La migration Comorienne à Zanzibar, à Madagascar et aujourd’hui en France. Le décrochage scolaire concerne toutes les couches de la société française avec de différence. la première, deuxième génération comorienne en France ont toujours vécu ainsi (machuhuli, na ne twarabu ila wasayidiye wowalo Komori). Pourtant leur enfants n’ont pas glissé dans le banditisme. Said Ahamada a été évoqué dans le post parce qu’il est venu voir sa communauté lui soutenir pour arriver là où il est aujourd’hui. Il les représente d’une certaine manière parce qu’il est toujours renvoyé à »le député franco-comorien ». Il pouvait faire une proposition de loi qui tenterait peut-être de régler ce conflits absolument voulu par le système. Vous braquez le fusil aux parents qui n’éduquent plus. Mais comment un parent qui fait le ménage à partir de 6h du matin et qui rentre chez elle vers 17/18h, parfois deux ou trois boulot pour pouvoir tenir, peut suivre convenablement l’éducation des ses enfants? Je pense que l’éducation dans une société est tenue par ce qu’on appelle les trois écoles: les parents, l’école proprement dite et la société dans laquelle cet enfant évolue. C’est sur ce dernier point que Said Ahamada rentre en jeu, car, elle représente les citoyens…
Comprenez bien que ici on est que des immigrés si ça allait mieux chez nous on aurait dû rentrer mais qui c’est qui tue ses enfants?? pour mois les premières coupables c est l’état comorien évidemment on devrait manifester encore et encor jusqu’à ce que les choses changent dans notre pays. où est-ce que vous voulez qu’on aille car la situation actuel à Marseille la solution c est de partir avec les enfants mais il reste à savoir on va où?les Comores qui censé d’être notre seul espoir et au bord du chaos..
diaspora de mayeler na nikoumbi seulement pas de revendications pour l’avenir de leur propres enfants, quelle diaspora? combien des enfants origine comorien dans les prisons français,? à marseille chaque week-end les comorien rempli les salles pour les machouhouli lesse leur enfants toutes seules à la maison sans manger sans rien aucuipe de ça d’abord au lieu de manifesté contre AZALI pour rien
Propagande contre la diaspora par les gens quici sont payés papr le grand corrupteur Azali traître de la nation
une petite récupération et pourquoi ne pas venir prendre la place de SAID AHAMADA, vous qui parle comme et pourquoi ne dites vous pas aux comoriens de France d’arrêter d’envoyer de l’argent aux Comores et occupez-vous de l’éducation de vos enfants? C’est beau de voir les choses de son seul angle.
Il a été tjrs d’actualité que le comorien s’occupe de son enfant.
Avant il s’agit de question d’argent du coup pas normal qu’on paie un ecollage aux comores alors que les propres enfants et encore propriétaires de cet argent , sont dans le public en France. Autan d’exp illustrent cette idée d’abandond’enfants.
Paradoxe ces comoriens de l’etranger ont le kilo de mener une politiqueautre.
Il faut balayer cet qui avant d’aller chz le voisin, non !
Une lutte politique manque pour envisager de stopper ces actes de désespoir pour les komor et les komoriens .
Le diaspora en construction s’inscrit dans cet optique et écoute toute proposition pour sauvegarder notre dignité dans la République Française.
Le fait de défendre pour les komor n’est ce pas le problème est que la bas nos intérêts sont aussi menacés et quasiment nulsch
Nous sommes des oubliés chez nous et des étrangers en France.
En France comme aux komor nous devons combattre pour nos intérêts pas pour les autres, les échoués de la République.
Engageons nous pour nos combats citoyens aux comores comme en France.
Le mouvement réfléchi diapora positif nous semble bien s’orientet vers ce point.
Partout ou l’on se trouve on doit éduquer les petits.l’ education est l’aliment de base d’un enfant. Aux comores cette culture de l’éducation n’existe pas.
On considère que tout celui ou celle qui a vu un enfant grandir, il l’a éduqué. Alors que c’est faux.lorsque nous analysons avec science,on se demande qui est éduqué aux comores ? A faire quoi ?
Sinon pourquoi les comores s’enfoncent-elles si les enfants sont éduqués ? Je rappelle que scolariser n’est pas éduquer.
Nous sommes dirigé par des scolarisés mais des gens éduqués rien que de leurs domaines respectifs.ils ne sont pas éduqués ni à la rigueur ni à la notion d’intérêt general ( a lire l’oeuvre de Dr DJafar sur l’effondrement de la notion d’intérêt general) ni encore au respect des institution (le moinahatru rue tout) pire encore manqué d’education a la consommation du hallal / a la vie saine.
Comores infos, cette photo est la photo de la personne qui a écrit l’article. Ce n’est pas la personne impliquée dans le règlement à Marseille. Enlever la pour l’effet que vous en donnez. Mes amis pensent le contraire et ils m’ont appelé pour se rassurer.
c st vrai une personne moche n a que a merde comme raisonnement..c est quoi ce truc? c est pour legitimer les magouilles du ort vivant?
Tu as vu le nombre des écoles privées au comores va sur internet taper étudient comorien dans le monde
Mais comment finance t-on le anda dorénavant?
Triste réalité. Ne remettons pas la faute sur la France.
Ce sont des parents qui font tous les WE des machoulis et
laissent leurs enfants seuls au domicile livrés à eux même,
dès le plus jeune âge. Ils s’eduquent seuls. Pendant ce temps,
les autres jeunes comoriens commandent des « pouroutables », assis sur la place
du village, que l’argent de stupéfiant paient.