Après l’enquête de la gendarmerie, une auteure présumée de diffusion d’images pornographiques pourrait être présentée devant le chef du parquet de la République de Moroni, ce matin. Ayant presque bouclé l’affaire, l’enquêteur semble ne pas être satisfait de son travail qui selon lui présente de nombreuses zones d’ombre.
Soupçonnée d’avoir diffusé des images pornographiques sur les réseaux sociaux, la jeune femme citée dans cette affaire pourrait comparaitre devant le parquet de la République de Moroni, ce jeudi 14 décembre. En fait, la coupable présumée aurait diffusé des images intimes qui n’étaient pas destinées à une diffusion. Selon l’enquêteur chargé du dossier, suite à une plainte déposée par une des victimes, la gendarmerie a ouvert une enquête afin de déterminer ce qu’il s’est réellement passé.
“Nous avons ouvert une enquête, cependant, il y a de nombreuses zones d’ombre. Nous sommes prudents car la victime n’a pas pu clairement dire sur quels éléments elle base ses accusations”, a déclaré le capitaine Abdallah Ibrahim. Au sujet de ces zones d’ombres qui entourent cette affaire, le capitaine a fait savoir que la supposée victime de la diffusion de ces images a vraisemblablement pu identifier la présumée auteure de cette diffusion grâce à l’aide d’un informaticien.
La plaignante soutient que c’est un ami informaticien qui habite en France, qui a réussi à lui donner le numéro de téléphone à partir duquel ces images ont été diffusées.
A en croire le capitaine, ces révélations doivent être prises avec beaucoup de réserve car cet informaticien nommé par la victime s’avère entretenir une liaison avec les deux jeunes femmes, la présumée auteure et la supposée victime. “Il s’agit d’une personne connue des services de police et de la gendarmerie de Moroni et qui à plusieurs reprises a été poursuivie pour vol ou autre infraction. Etant l’amant des deux femmes, cet informaticien est supposé connaitre leurs numéros de téléphone pour les communiquer à qu’il veut”, ajoute le capitaine.
En dehors de la liaison existant entre cet informaticien et ces deux femmes, la confusion qui entoure cette affaire repose également sur une affaire de disparition de téléphone.
Selon toujours Abdallah Ibrahim, la présumée auteure de diffusion de ces images est une stagiaire auprès de la société nationale de télécommunication, Comores Télécom.
“Elle a déclaré avoir acheté une puce pour sa petite sœur et c’est elle qui utilisait ce numéro incriminé. Au moment de sa déposition, la petite sœur a déclaré que son téléphone a été volé lors d’un cambriolage survenu chez le dépanneur censé le réparer”.
Mariata Moussa /Alwatwan
Rien de surprenant à part que c’ est la première fois qu’ une femme Comorienne diffuse de tel image sur le net .
Comme d’ habitude les Grand- comoriens sont hyper doués en la matière ,s’ agissant de dégrader, humilier , dénigrer, insulter et se moquer d’ autrui .En tant que Maorés nous sommes bien vaccinés sur leurs comportements c’ est pour cela que nos Aeux n’ont pas voulu partager un destin Commun avec leurs unions .
Parfois on se dit que c’ est quelques choses profondément innés chez eux . Et plus ils nous dénigrent et nous insultent , plus nous nous méfions d’ eux ,plus cela ne fait que confirmer de ne jamais vouloir se reprocher administrativement et politiquement avec ces genres d’ individus profondément hypocrites et malhonnêtes .
Quoi? Désolé mariata mais j’ai rien compris. Avant de nous plonger dans ces détail, un rappel des faits ne serait pas de trop.