Ce dimanche matin 2 juillet 2017, le vice-président en charge de l’Énergie Mr Djaffar Ahmed Said Hassani, qui représente le Président de la République Azali Assoumani au 29ème Sommet de l’Union Africaine à Adis Abeba, a rencontré durant plus d’une heure la Commissaire du Département Infrastructure et Énergie de la Commission de l’Union Africaine Dr Amani ABOU-ZEID. Le principal sujet de cette réunion de travail fut le projet de la géothermie et du rôle très important de l’Union Africaine dans sa réalisation. Il a été question de la stratégie de mobilisation de fonds pour combler le GAP de 12 millions de dollars du projet.
Une convergence de vue s’est dégagée, et il a été convenu, d’une part, de l’organisation prochaine d’une table ronde des bailleurs de fonds sous le patronage de l’Union Africaine et d’autre part, de l’implication personnelle de Madame la Commissaire du Département Infrastructure et Énergie dans l’organisation des Assises Nationales sur l’Énergie souhaitée par le Président de la République Azali Assoumani, pour mieux dessiner la stratégie énergétique des Comores en phase avec cette vision des Comores émergents à l’horizon 2030.
Le vice-président a pris également le soin de rappeler à la diplomate de l’Union Africaine que pour le Président Azali, l’année 2016 était celle de l’Énergie et que l’année 2017 est celle des Routes. Les Comores souhaitent donc un accompagnement de l’organisation continentale.
Beit Salam
Rira bien rira le dernier. Vous avez laissé cette petite fille partir alors que vous avez les moyens de faire autrement.
Si la population comorienne était responsable, elle aurait envahi la capitale pour dénoncer vos comportements. Mais, les comoriens sont spéciaux. Même souvent ils assistent devant une personne lynchée, ils ferment les yeux. La mort de cet ange, montre combien les comoriens sont dépourvus d’hospitalité.
Nous appelons au secours, car ce gouvernement n’a pas raison d’être. Celui ou celle qui est capable de mettre hors état de nuire ce gouvernement, il sera la bienvenu.
Aidez-nous à se débarrasser de ces chienlits. Ils grossissent pendant que le peuple meurt de faim et des maladies. Azali et sa famille se soignent aux frais du contribuable et ils laissent mourir un ange. Nous demandons une intervention humanitaire. C’est à dire le droit d’intervenir dans un état pour sauver des vies.
Les comoriens n’en peuvent plus.