Dr Youssouf Said arrêté par la gendarmerie

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1. YSS est un des rares hommes politiques que le pays a, fortement, besoin. Un très bon militant depuis son jeune âge pour le bien de chaque citoyen. Un homme convaincu que la seule richesse qui vaille est le partage de la connaissance. Soilihiste, il a choisi la souffrance dans la liberté de conscience à l’opulence dans le déracinement socio-culturel et la vassalisation des esprits. Depuis, il est souvent pris à parti pour la liberté d’expression. Non pas seulement pour l’usage des mots illustrant les maux qui ruinent la société comorienne mais aussi parce qu’il refuse de se soumettre aux injustices et de se laisser se corrompre. Par cette arrestation arbitraire, la dictature veut le museler et affiche son inculture et ses incompétences à gouverner le pays . Oui, les vassaux de la FrançAfrique ou la France A Fric peuvent tenter de lui skotcher la bouche, son silence parlera plus que les médias de l’aristocratie. C’est un homme qui ne cessera jamais de s’exprimer haut et fort pour celles et ceux dotés d’une conscience humaine et agir pour tous. Dans ses propos on lira, on entendra son rêve pour une réelle nation comorienne, un pays où une vie harmonieuse, paisible et prometteuse sera notre ADN, un morceau de terre où le citoyen sera chez lui sur l’ensemble du territoire et où aucune forme de discrimination ne pourra survivre, où le droit sera le même pour tous et la constitution le lit de l’indépendance de la nation et des institutions telles la presse, la justice, le parlement, ………., en définitive un peuple souverain. Mais à la place de s’interroger sur le pourquoi de la manifestation de MONSIEUR Youssouf SAID SOILIH, il fut simple, pour des incultes, de le mettre en détention sans aucune forme de procès. A dire que le loup et l’agneau ( Fable de Jean de la Fontaine), fut écrit pour Azali et sa clique il y de cela plus de 4 siècles. Ce loup vers qui on pouvait tout argumenter, son but était de s’en prendre à l’agneau peut importe la cohérence des arguments. Ou, aussi, la lecture de l’autodafé de voltaire dans laquelle la condamnation, des innocents pour des motifs inexistants mais construits après exécutions, il y a des siècles était aussi sans autre fondement que la raison de la force barbare et immonde. L’histoire doit nous servir de leçon pour ne plus courir derrière les regrets. Pour mieux illustrer mon dernier propos, plongeons dans les discours détaillés d’Ali SOILIH sur son projet de développement, la réalisation d’une partie de son programme et sa pédagogie radio diffusée qui a conclu par dire: L’histoire est seule juge des hommes. Malmené, torturé, humilié et assassiné, l’histoire l’a exhumé pour toujours et pour un hommage à un homme d’une vision exceptionnellement bonne. Ce sont les bourreaux du soilihisme et du compatriote leader qui dissertent, positivement sur le défunt frère Ali SWALIH MTSASHIWA comme il l’aurait lui même écrit via wom alifubesho qui fut une partie de son programme de lutte contre l’ignorance. Aujourd’hui, l’ignorance fait des petits. Ces derniers fabriquent les violences contre la constitution, les institutions, la démocratie et l’état de droit et au passage zombifient la population pour un peuple à l’avenir tristement obscur.

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