Telle est la volonté qu’afficheraient les responsables de l’hôpital de référence nationale si l’on en croit la conférence de presse organisée le 31 août par Mahamoud Abdallah conseiller en communication du directeur général de l’établissement. Ce dernier a commencé par pointer du doigt certain pratique des praticiens qui obligeraient dans certains cas que leurs patients fassent leurs analyses dans des structures privés. Des pratiques qui lèsent le centre hospitalier national. Mahamoud Abdallah a fait savoir que désormais la politique de l’institution consistera à soigner les patients avant de leur demander de l’argent. Selon lui, toutes les structures de la maison doivent respecter ces nouvelles consignes qui visent à donner une dimension humanitaire. Des sanctions seront donc réservées aux récalcitrants à en croire toujours le conférencier. Faut-il croire à ce slogan « le patient avant, l’argent après » ?
Les soins de santé coutent très chers , si on applique ces mesures dans les hôpitaux Comoriens , cela n’ a rien d’ extraordinaire puisque les Médecins ne feront qu’ appliquer la déontologie médicale et le respect du serment d’ hypocrate .
Mais cela semble impossible pour ces médecins charlatans qui ont l’ habitude de dépouiller et sou-tirer de l’ argent aux maximum à leurs patients avant de leurs donner des soins inefficaces , c’est pour cela que tous les malades de l’ union des Comores fuient vos hôpitaux mouroirs pour venir se soigner à Mayotte au péril de leur vie , profitant gratuitement de nos cotisations maladies et maternités car nous sommes prélevés deux fois sur nos fiches de paye 2% de cotisation maladie et 2% de cotisation maternité . Même s’ils en profitent , cela nous réjouit énormement puisque les Comoriens nous traitent des Colonisés et finalement nous nous disons que c’ est nous les colonisés qui les soignons et leurs rendent la vie qui n’ a pas de prix .
Nous ne croyons pas qu’ avec cette nouvelle décisions vous arriverez à retenir vos patients chez vous .
Combien de femmes enceintes et leurs bébés ont perdu la vie à l’ entrée de vos maternités car la famille n’ avait pad 300 euros pour payer à la caisses ( pr rappel une femme ayant une grossesses gémellaires au mois novembre 2016.