Encore une fois les collaborateurs d’Azali lui ont fait signé des décrets comportant une erreur monumentale. Les décrets portant nomination des nouveaux membres du cabinet présidentiel comportent une erreur, de taille. Cette erreur concerne les articles visés par le document officiel. Le premier paragraphe vise la constitution de 2001 révisée par référendum du 30 juillet 2018. Sauf que les collaborateurs du chef de l’Etat se réfèrent, par inadvertance sans doute, à une révision qui a eu (aura ?) lieu le 30 juillet…2019, soit dans deux semaines.
Il y a quelques mois ces mêmes collaborateurs avaient fait signer au chef de l’Etat un décret nommant une secrétaire générale au ministère de la santé. Il eu fallu 24h, à cause d’une pression médiatique, pour qu’Azali Assoumani se rende compte de sa méprise: il avait nommé une stagiaire à un poste stratégique qui demandait une personne nourrie dans les sérails. Il n’a pas tardé à abroger ledit décret, non sans s’en prendre à ses collaborateurs. À part les égarements sur les dates, l’équipe juridique de la présidence fait montre d’une défaillance en matière d’orthographe. Comme « constitution révisé » (avec un seul E) comme si le terme « constitution » était masculin. Circulons !
Lamentez vous, ce n’est pas les mêmes comoriens qui prétendent être plus instruits que les mahorais.
Vous commettez des fautes en rédigeant votre constitution.
Quelles côneries?
yezinu gazendo nda nayi hesa hatrilwa ziyani
Qu’est ce qu’on a pas vu avec les hommes du mort vivant azali. Lui même ce mort vivant Azali quand il parle le français on a honte , on dirait un brouillard jamais mis son pied à l’école des blanc .
Cette photo me rappelle monsieur Trump.
Monsieurs Al Wattan(3A) au garde à vous.
Des gens qui n’ont ni morale, ni pudeur et ni éducation.
Mon ventre, mon ventre, mon ventre,…
C’est pathétique!!