Les Assises Nationales des Comores ont été ouvertes depuis le lundi 5 février et prennent fin ce lundi 12 février. Plusieurs personnalités politiques sont présents actuellement au stade de Moroni. Des représentants de l’Organisation des Nations Unies, de la Commission de l’Union Africaine, de la Ligue des Etats Arabes, de l’Organisation Internationale de la Francophonie et de la Commission de l’Océan Indien assistent au fermeture des assises nationales.
Ce lundi est un jour chômé et payé pour permettre aux différents travailleurs de participer à cet événement. Quelques images du moment…
Il ne faut pas se plaindre après.
Ceux qui livrent le pays à ce tyran auront une lourde responsabilité sur la souffrance de la population comorienne. Car, mieux vaut prévenir que guérir. L’heure à sonner pour dégager un tyran sanguinaire. Hormis la liberté naturelle, dont chacun est maître de lui même, celle institutionnalisée s’acquiert par la volonté du peuple. C’est pourquoi celle ci a toujours un prix à payer. En plus, le départ d’un tyran demande l’intervention du peuple. À lui seul, sait pertinemment ce qu’il lui faut.
Le danger est là peuple comorien. Si le tyran faisait passer son projet des assises, cela pourrait constituer la fin de l’archipel des Comores et l’émergence d’une violence inouïe au sein de la population comorienne. Car, La misère et la souffrance se multiplieraient. Par conséquent, le pays basculerait dans une délinquance inimaginable.