Ils dénoncent une fraude électorale avant même le début de la campagne

L’histoire faire rire aux larmes, de la place d’Aix à Marseille à la place Mtsangani à Moroni, et il y’a de quoi rire.

Le SAMBI comédie club, crie et dénonce une fraude massive et des irrégularités du scrutin présidentiel alors que la campagne électorale vient de commencer et que nous somme à un mois de l’élection présidentielle. Messieurs un peu de sérieux.
Pendant que les candidats sérieux sont au travail et mobilisent leurs équipes, les amuseurs de tapis quant à eux jouent leur petite musique habituelle, celle de la victimisation et de la dénonciation de basse-cour. Sambi et compagnie voyant la candidature enfantine de Fahmi said Ibrahim désavouée et délaissée par l’ensemble des Comoriens, ils préfèrent se faire passer pour des victimes plutôt que de faire campagne correctement comme tous les candidats.

En comorien aguerri et averti, nous connaissons par avance leur petite manège habituelle le soir d’une élection où leur candidat Fahmi vas se faire éliminer dès la primaire qui aura lieu le 21 février prochain par les Comoriens de la façon la plus sévère et lamentable.
Comme dans leurs crapuleuses  habitudes, les mêmes pleurnicheurs vont crier à la fraude électorale, à l’achat de voix, au bourrage d’urnes, ils iront aussi comme toujours pleurnicher dans les médias, sur les réseaux sociaux, auprès de l’union africaine, de l’union européenne, à l’ONU, blablabla blablabla bref passons nous connaissons déjà la chanson.

Sachant que leur candidat n’a aucune chance face à des candidats sérieux qui travaillent durement pour se faire élire, le Sambi comédie Club a fait le choix de la zizanie, de semer le trouble dans une campagne où leurs seuls mots d’ordre sont la haine, l’insulte, le mensonge et la manipulation.
Attendez voir le soir du 21 février 2016
Qui Vivera verra
Said Abdallah