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« Je vous invite chers confrères et consoeurs à m’accorder votre confiance »

Chers confrères et chères consoeurs journalistes,

Dans moins d’une heure de temps, la campagne électorale relative à l’élection du premier bureau du Syndicat national des journalistes comoriens (Snjc) sera fermée (21h00) conformément au calendrier publié par la commission d’organisation des élections.

Le lundi 17 février, nous sommes appelé à choisir les représentants qui auront à conduire le premier bureau du Snjc. Au total, sept postes sont à pourvoir. Comme vous l’avez constaté dans la liste des candidats retenus, je suis candidat au poste de président du Snjc.
Ma candidature se différencie de celles des autres car formée par toute une équipe et ce dans l’objectif d’éviter les conflits internes habituels qui ont tendance à fragiliser certaines organisations. Avant de déposer ma candidature, j’ai consulté des confrères et consoeurs amoureux de la liberté d’expression et du journalisme non sensationnel. Après l’avis de mes proches et amis journalistes, j’ai décidé de candidater au poste de président pour l’intérêt général du métier. Ma candidature est formée par une équipe solide composée de journalistes dont nous partageons les mêmes valeurs et visions du métier. Elle est composée de Chamssoudine Saïd Mhadji au poste de Secrétaire général, Azim Bouton au poste de trésorier et Zid Yazid au poste de secrétaire régional de Ngazidja. Notre équipe a décidé de soutenir Sardou Moussa au poste de secrétaire régional de Ndzuani et Kamal Ali Yahoudha au poste de chargé de communication, et cela sans condition. Nous sommes convaincus que leurs expériences nous seront utiles pour ce nouveau-né des professionnels de la presse.
Pendant les six jours de la campagne électorale, j’ai eu à rencontrer chacun parmi vous, confrères et consoeurs, et j’ai eu à exposer le projet de mon équipe pour le syndicat et les journalistes en général. Pendant trois mois, mon secrétaire général et moi étions au cœur des travaux préparatifs pour la mise en place de ce syndicat. J’ai participé à de nombreuses réunions de réflexions et ce jusqu’à l’élaboration des textes (statut et règlement intérieur) ce qui n’est pas le cas de mes concurrents qui n’ont connu ce combat qu’à la dernière minute. Je pense que cela est un des atouts majeurs me permettant de prétendre à ce poste.

Lundi 17 février, nous aurons à choisir quelqu’un qui était présent sur tous les fronts des différents combats des journalistes et ce sans passion ni état d’âme. Nous avons besoin de quelqu’un qui défende une cause noble. Nous sommes nombreux à briguer ce poste de président du Snjc, et parmi nous, il y en a qui ont déjà eu à être à la tête d’une de nos organisations. Leurs bilans témoignent pour eux : deux ans sans une seule réunion du bureau, ni assemblée générale encore moins de bilan. Est-ce normal qu’une organisation soit gérée comme une entreprise familiale ? Le temps est venu d’agir sans passion et de ne pas seulement voter des noms. Fini la complaisance et le régionalisme lesquels nous ont montré leurs dangerosités. Nous devons choisir des personnes capables de différencier le bien et le mal, le sensationnel et les états d’âme des uns et autres et agir en conformité avec les faits et le respect de la loi.

Ce lundi 17 février, je vous invite chers confrères et consoeurs à m’accorder votre confiance en m’élisant premier président du Syndicat national des journalistes comoriens avec mon équipe pour l’intérêt supérieur du métier.

Ali Abdou, candidat à l’élection du président du Syndicat national des journalistes des Comores

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