Le vendredi 3 mai coïncidait avec la journée de la liberté de la presse dans le monde. Aux micros de l’Ortc, le ministre de l’information, Mohamed Daoudou est revenu sur le métier du journalisme aux Comores.
« Contrairement à vos affirmations, le journalisme n’a pas régressé aux Comores. Nous sommes devant plusieurs grands pays réputés pour leur démocratie. La presse écrite et les radios se sont multipliées. Une seule radio a été fermée. Les journalistes font un travail considérable mais certains d’entre eux ne l’honorent pas. Ils sont devenus des politiciens. » a-t-il dit avant de pinter du doigt le fait que de nous jours, tout le monde se réclame journaliste. » N’importe qui s’improvise journaliste. Une situation qu’on ne peut voir nulle part ailleurs » affirme Mohamed Daoudou alias Kiki.
Tout le monde peut se réclamer journaliste comme tout le monde peut se réclamer politiciens.
Je rappelle à ce petit « ministre » que partout dans le monde les journalistes politiques existent comme il existe des journalistes sportifs…
Si ce guignol crois que la politique est réservée pour les charlatans de la république comme lui alors qu’il se mettent le doigt dans l’oeil.
Au nom de quoi, ce petit « ministre » peut décider qui doit être journaliste et qui ne doit pas l’être?
En effet, ce métier est amener à évoluer car la période où les charlatans de la république décidaient de ce qui doit être diffusé par les journaux est révolue.
En fait, si les dirigeant de la secte Azali n’ont toujours pas compris que le monde a changé et qu’on est pas aux années 80.
S’ils n’ont pas compris que grâce à internet certains métiers sont amener à disparaître et que d’autres comme le journalisme seront amenés à évoluer alors la secte continuera à courir.
En effet, ce n’est que le début de leur cauchemar…