Rebondissement sur l’affaire opposant le minsitre de l’intérieur et l’ancien député de Moroni AbdoulFatah.
Bienque la cour d’appel avait ordonné la reprise de l’installation des maires, le tribunal de première instance vient à son tour ordonné le clan du ministre de l’intérieur Mohamed Daoud de « cesser tout trouble quelconque, et l’interférence dans le fonctionnement régulier et continu des services publics administratifs de la commune de Moroni en attendant l’élection du nouveau maire et de ces adjoints conformément à l’arrêt N025/CS rendu le 13 mai 2020 par la cour suprême » tribunal de première instance. Un coup dûr pour le parti Orange qui s’était déjà investi à la mairie de Moroni.
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