La passation du service entre l’ancien et le nouveau Directeur de Cabinet du Gouvernorat d’Anjouan a eu lieu ce lundi du 6 juin à Dar-Nadjah. Chargé de la Sécurité Intérieure, de l’Information et de la Vertu, le nouveau Directeur, Monsieur Miftah Abdallah M’chindra, a cité dans son discours que chacun est libre de pratiquer sa religion pour un islam tolérant. En évoquant ce sujet, le nouveau Directeur de Cabinet voulait adresser une mise en garde à la population anjouanaise qui est de confession sunnite et encourager l’expansion du Chiisme à Ndzuwani et d’autres sectes. Aussi voulait-il témoigner son soutien au Gouverneur Abdou Salami qui l’a nommé et qui fait partie des têtes du réseau des chiites mis en place par l’ancien comorien président Ahmed Abdallah M. SAMBI qui rêve devenir le Guide Suprême de l’Océan Indien. Selon des sources d’informations, SAMBI participe actuellement à une conférence de chiites en Egypte.
La montée du chiisme aux Comores
En réalité, les questions religieuses ne relèvent pas des compétences des îles autonomes, mais de l’Union des Comores selon la constitution nationale. L’extension progressive et secrète du chiisme aux Comores est un danger pour la cohésion sociale et l’unité nationale. Le Chef de l’Etat comorien en est conscient.
Pour épargner le pays des conflits de compétences, je recommande le nouveau Directeur de Cabinet et les autres responsables politiques insulaires de lire la constitution de l’Union des Comores et les Lois statutaires afin connaître les limites des pouvoirs exécutifs des l’île Autonomes.
Faidhoine A.
qui est ce sambi?qu’il garde son chiisme dans sa famille et qu’il laisse les comoriens tranquille.ce sambi est toujours un fouteur de merde, si il a pris des milliards de dollars aux iraniens pour pouvoir implanté le chiisme aux comores, je pense que les comoriens n’ont pas vus ces milliards de dollars.alors il doit rendre l’argent des iraniens aux iraniens et qu’il laisse le peuple comorien dans leur unité depuis la nuit de temps.vive les comores, vive le sunnite.