La terreur s’installe aux Comores. La liberté d’expression est inexistant. Deux journalistes sont actuellement aux mains de la gendarmerie.
Une seule déclaration a causé l’arrestation de nos confrères, Mchagama Oubeid Attoumani de la radio Kaz et de Fcbk Fm , Abdallah Agwa de la Fcbk Fm. Ils ont demandé comme le précise la constitution. Voici les propos qui ont envoyé nos confrères en prison » le président Azali doit rendre les moyens de l’état comme il est candidat. C’est un candidat comme les autres. Il ne doit pas utiliser les moyens de l’état pour faire campagne« .
Dans les transports en commun (les taxis) personnes n’osent s’exprimer sur la politique du pays. La terreur s’installe et la peur de finir en prison.
Pour être journaliste au comores, il suffit juste d’avoir un smartphone capable de filmer et un compte Facebook ou YouTube.