Le retour du séparatiste Mohamed Bacar dans l’île dans est annoncé par ses partisans qui organisent un retour triomphant.
En effet après le retour de son ancien ministre de l’Intérieur, Djaffar Salim, alias Sarkozy à Anjouan depuis quelques mois. Les partisans de l’ex homme fort d’Anjouan organisent des réunions secrètes de Mutsumudu à Ouani pour le retour de Mohamed Bacar.
Pendant son exile Mohamed Bacar n’a pas cessé d’annoncer son retour comme cela était le cas le 17 avril 2009 depuis le Benin pays dans lequel il est en exile mais cette fois ses partisans ont fixé la date du 26 avril. L’ex homme fort est un séparatiste convaincu et qui ne cache pas ses ambitions et ses idées dans une lettre écrite en 2009 il déclarait «La recréation, c’est terminé. Très bientôt, je serai parmi vous pour libérer Anjouan accompagné de mes fidèles, poursuivre l’élan de développement et de l’épanouissement de l’Anjouanais. » . Voilà un retour programmé et bien organisé.
Les séparatismes vont-ils faire face à la justice comorienne un jour ?
Le gouvernement d’Ikililou veut la paix donc il n’y aura pas de justice l’ex Colonel pourra être à Anjouan comme un simple citoyen même si il a du sang dans les mains et la majorité des anjouanais ne sont pas contre le retour des séparatistes. Le pays dans son ensemble va dans les prochains mois retomber dans une crise sans que la justice ne puisse intervenir.
Lisez la lettre qui date du 17 juin 2009 de Mohamed Bacar.
Franchement je ne comprends pas les Comores que Mohamed Bacar après tout ce qu’il a fait mais il peut venir vivre librement aux Comores sans aucune justice !
Alors que c’est une personne qui a mérité des lourdes punitions sur le fait qu’il a trahit ouvertement son pays.
De ce fait j’accuse tous les responsables de l’union mais surtout ceux du gouvernement « SAMBI » que ce sont les véritables traitres de ce pays.
Des conférences contre la corruption sans aucunes justices envers ceux qui sont déjà corrompus n’ont aucun sens.
abou wowa tsingo hamba zidi bo baya ! Mgou ngodjo ripouwa ne chari cha hagnou