Le gouvernement nie ce qui a été ce qui a été relayé par la presse nationale. Selon le porte-parole du gouvernement Houmedi Msaidé, l’affaire des cyberharceleurs n’est pas classé sans suite. Il est catégorique : » je ne crois pas qu’ils sont libérés définitivement. Non. La justice a décidé qu’elle ne va pas garder des gens pendant longtemps. Ils seront rappelés et jugés une fois que la crise du Coronavirus sera résolue. Ceux qui méritent la prison seront enfermés ».
Pour la petite histoire, 5 comoriens dont un spécialiste du Web piratent des comptes Facebook des femmes et s’incrustent dans leurs messageries pour dénicher la moins image compromettante. Une d’entre a décidé de saisir la justice. Déférés au parquet de Moroni, ils sont libérés hier après 3 jours de garde à vue.
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