Les partis politiques se préparent à l’élection présidentielle de 2019. Le parti Juwa pourrait présenter un candidat.
L’ancien président Ahmed Abdallah Sambi est le seul qui pourrait battre le président Azali Assoumani. Sambi n’est toujours pas condamné et pourrait donc du fond de sa prison être candidat à la présidentielle de 2019.
La loi n’empêche pas Sambi de participer. Et ça serait une victoire écrasante.
Le parti Juwa pourrait s’inspirer de la candidature du président Loula au Brésil.
Tous les observateurs sont d’accords, pour que le parti Juwa survive et batte Azali, il faut que Sambi soit candidat.
Vous prenez AZALI comme un abrutis qui va donner un fusil à son ennemi n 1 de lui tirer dessus .
AZALI autorisera le parti JUWA à se présenter dans le seul but de montrer aux instances internationales que plusieurs parties de l’ opposition avaient pris part à ce vote et légitimer cet élection .
Meme si le JUWA l’ emportera sans aucun doute mais la CNI de Djaza est bien rodé pour inverser les résultats et donner favoris à la mouvance présidentiel . Encore une fois les pauvres Comoriens seront roulés dans la patte de la farine par AZALI et ce dernier leur dira de chanter comme d’ habitude la Marseillaise Comorienne » Mayotte est comorienne et le restera à jamais » . et les affamés seront tous rassasiés rien qu’ en entendant ce refrain .
Ce sont ces coupures d’articles qui empoisonnent la vie quotidienne des Comoriens.
Vous ne publiez jamais des choses sérieuses. Et vous êtes Vous Comores Info et votre jumelle Habarizacomories responsables de cette anarchie des réseau sociaux.
OU EST L’ARTICLE SUR LA CEREMONIE D’INAUGURATION QUI HONORE LES COMORES ET AZALI LUI MEME. Vous faites le jeu du diable, escusez moi…
le parti juwa vous prenez les comorien comme des cons au coït laissez sambi tranquille sauf si vous voulez creusé sa tombe devant le dictateur AZALI bonne chance!!!!!!
Il a envie de mourir cette fois ci.
Qui a envie de mouri?Et pourquoi?Ce pays appartient à tout le mpnde.Par conséquent notre pays doit être démocratique.