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Larifou, un mauvais gestionnaire à la rescousse de l’émergence

Près de 125 millions de francs comoriens, soit 250000 euros! C’est la somme que Larifou doit à la seule Caisse à la Réunion. A la seule Caisse! C’est une somme énorme pour la petite étude de Larifou. Le signe d’un gouffre financier abyssal dans lequel celle-ci est plongée. On s’en fout des écarts et des convulsions politiques de Larifou, devenu la risée de tout le monde aux Comores. C’est le côté très mauvais gestionnaire avéré qui doit nous interpeller tous. Un petit cabinet, une dette de 250 000 euros rien que par rapport à la caisse! Et cet homme a eu le culot de venir nous faire des leçons en matière d’émergence! C’est le monde à l’envers; tout comorien doit s’élever contre cette imposture. A croire que cet individu a étouffé l’expression démocratique aux Comores et s’est imposé comme sauveur des Comores et s’est fait une vocation de chantre de l’émergence.

Ils sont un paquet ayant échoué en France autour d’Azali ; ils se parent de meilleures intentions du monde.
Que reste-t-il encore de la crédibilité des Assises d’Azali si le porte-parole du CPAN, le défenseur des Assises, est coupable d’une mauvaise gestion de sa propre entreprise? C’est plus facile de gérer une petite structure à la Réunion que de voler à la rescousse de l’émergence dans un pays comme les Comores. Vous aurez compris, Larifou joue au charlatan! Il a coulé une petite étude; il ne pourra pas sauver un pays entier avec toutes ses contraintes comme les Comores. C’est un expert auto-proclamé sans expertise avérée ni expérience probante. Il avait annoncé la transparence du budget des assises de 360 qui passe à 680 millions, selon Sagaf. Nul doute que Larifou ne pourra présenter ce rapport sur la gestion de l’argent du contribuable à propos des Assises.. L’habit ne fait pas le moine. Celui qui a inventé l’expression « crimes économiques » est tout simplement un mauvais gestionnaire indigne du projet d’émergence pour les Comores.

Ahmed BOURHANE

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