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Le candidat Achirafi se positionne dans le trio de tête du second tour

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La Candidature d’Achiraffi Saïd Hachim à l’élection présidentielle comorienne de mai 2016 (1er tour le 21 février, second tour le 10 avril et investiture le 26 mai) est aujourd’hui en pole position.

Achiraffi Saïd Hachim a mené une tournée de proximité dans les îles dont 3 jours à Anjouan du 11 au 13/12/2015. Accompagné de son colistier et Vice-Président pour Anjouan, l’ancien Premier Ministre Halifa Houmadi, le candidat du Cadim (Convention pour l’Alternance Démocratique et l’Interaction Mutualiste) a sillonné les principales régions d’Anjouan. Cette tournée a été conclue par la mise en place du Comité régional de soutien de la candidature au cours d’une grande rencontre de délégués venue de tous les coins d’Anjouan. Cette rencontre s’est tenue à Mirontsy, fief de Halifa Houmadi.

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Achiraffi Saïd Hachim et Halifa Houmadi sont rentrés en Grande Comore le 14 décembre pour rejoindre les deux autres colistiers – Vice-Présidents ; Foundi Mohamed Mzé pour la Grande Comore et Abdourahamane Madi pour Mohéli, pour finaliser les procédures administratives du dépôt de candidature.

Le samedi 19 décembre Achiraffi Saïd Hachim, entouré de ses colistiers a déposé sa candidature auprès de la Cour Constitutionnelle des Comores. Celle-ci fait partie des 25 candidatures validées le 26 décembre par la Cour. De nombreux analyses et commentateurs de la vie politique comorienne placent aujourd’hui Achiraffi Saïd Hachim dans le trio de tête pour le second tour. Ce trio comprend en plus d’Achiraffi, le Vice-Président Mohamed Ali Soilihi (numéro 2 du régime actuel) et le Colonel Azali, devenu Président de 1999 à 2006 à la suite d’un putsch.
Achiraffi Saïd Hachim a ensuite regagné La Réunion le 30 décembre pour une visite de 4 jours au cours de laquelle, il a présidé une série de rencontres publiques avec la communauté comorienne sur place, notamment les 2 et 3 janvier 2016 à Saint-Denis et à la Ville du Port.

Il séjourne à Paris depuis le 4 janvier, lieu de résidence de son épouse.

Le 17 janvier après une grande convention avec la diaspora comorienne en France qui se tiendra au 10 rue des Terres au Curé, Paris 13ème, Achiraffi Saïd Hachim rentrera aux Comores pour l’ouverture officielle de la campagne le 20 janvier. Cette convention qui réunira également les 3 Vice-Présidents sera ponctuée par la signature d’un mémorandum entre le candidat à la présidentielle et la Diaspora. Le mémorandum comprendra un certain nombre de convergences et d’action à mener en faveur du resserrement des liens entre la Diaspora et le pays d’origine, afin de faciliter la mobilité des comoriens de l’extérieur vers leur pays d’origine et le développement durable des Comores pour le bienêtre de tous, notamment au niveau des droits politiques, des échanges de talents et de la promotion des investissements.
En effet, bien que le gouvernement d’Ikililou soit revenu sur son engagement ferme à permettre aux 300 000 comoriens et franco-comoriens vivant en France de voter à la présidentielle, Achiraffi Saïd Hachim et son équipe souhaitent associer pleinement la diaspora à la construction du pays. Une fois élu président, Achiraffi Saïd Hachim rendra effectif les droits de la Diaspora et lui accordera des avantages économiques, notamment fiscaux, à la hauteur de son apport colossal au pays, en tant que premier bailleurs de fonds (100 M€ de transferts par an, soit plus que l’aide au développement).

Outre les soutiens politiques dans les anciens fiefs du regretté Président Mohamed Taki Abdoulkarim (1996-1998) du Washili-Dimani, Hamahamet, Mboinkou (grand nord-est) et du Hamanvu et Mbadani (Ouest), Achiraffi pourra compter sur l’alliance du Cadim avec le dynamique Hassani Mohamed Hamada dit Fochowa. Candidat au poste de gouverneur de la Grande Comore, Fochowa est originaire du Mbadjini. Cette région du Sud de la Grande Comore est la plus peuplée. Il est soutenu par son beau-père, Omar Tamou, puissant ancien ministre de l’intérieur sous les regrettés Présidents Ahmed Abdallah Abderemane, 1978 – 1989 (père de l’indépendance) et Saïd Mohamed Djohar, 1990 – 1995.
De plus Achiraffi Saïd Hachim qui a la réputation d’un homme intègre pourra compter sur la mobilisation du mouvement soilihiste dont est issu son Vice-Président Foundi Mohamed M’zé, sans oublier l’apport de l’opposition progressiste et des candidats indépendants, le moment venu.
Ses Vice-Président anjouanais et mohélien seront certes plus décisifs au second tour du 10 avril (le vote a lieu alors sur l’ensemble des 3 îles – Grande Comore, Anjouan, Mohéli -, la 4ème Mayotte est sous administration française), cependant l’aura de Halifa Houmadi, la popularité du Professeur d’université Foundi Mohamed M’zé et celle d’Abdouroihamane Mmadi au sein de la société civile comorienne, constituent également un élément fédérateur du vote du grand nombre d’électeurs dans le pays, notamment auprès de la jeunesse et des femmes de grande Comore au premier tour du 21 février.
L’éclatement en cours du camp de l’Ancien Président Sambi à la suite du rejet de sa candidature par la Cour, profitera sans doute à la candidature d’Achiraffi Saïd Hachim, perçu comme le vrai candidat du changement.

Achiraffi Saïd Hachim lance un appel à la population comorienne pour qu’elle s’approprie sa destinée et revendique ses droits.
(Voir lettre ouverte au peuple comorien).

Achiraffi Saïd Hachim s’engage à rétablir une stabilité Politique, économique et sociale durable dans le pays, assurant ainsi le meilleur espoir de stabilité.

Achiraffi Saïd Hachim détaille dans son plan d’actions prioritaire (publié dès le début de la campagne ainsi que le plan de gouvernance 3.0 et l’ensemble de son programme), les actions menées, en plus des actions programmatiques, les 100 premiers, les 300 premiers et les 600 premiers jours de son mandat.

Contact presse : Richard Joffo – richardjoffo@gmail.com – +33(0)6 07 88 22 66

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