La mort du commissaire Nadjim prive la police comorienne de l’un de ses principaux serviteurs et de l’un des ses plus grands limiers dont l’efficacité n’avait égal que la discrétion.
Dans tout autre pays, on aurait essayé d’entretenir le souvenir de cet homme en donnant son nom à un commissariat de Police, à une rue ou à une école. Mais nous sommes les Comores, le pays qui peut se passer du Souvenir de ses anciens, qui avance sur la base des seuls rapports d’experts, sans ses repères… On va donc oublier le commissaire rapidement comme on a oublié Daroueche kassim, le commissaire Mchangama, Saïd Toihire et tous les autres qui avaient mis leur vie au service de notre sécurité.
Ali Moidjié
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