Quand le vice-président de l’assemblée de l’Union, Dhoihir Dhoulkamal taille sur mesure une proposition de loi propre à son île natale de Ndzuani.
Comment peut-on expliquer que l’île de Ndzuani passe de 9 représentants de la nation à 15, pendant que l’île de Ngazidja passe de 11 élus à 17 ? S’interroge le journaliste d’Al-watwan, Ali Abdou. « Ce qui fait que chaque île s’est vu enregistrer six parlementaires de plus », mentionne-t-il. Quand à l’île de Mwali, elle est attribuée un seul député de plus [dans la proposition de loi] et se retrouve avec cinq sièges à la représentation nationale au lieu de quatre actuellement.
Sur cette proposition de loi de l’enfant de Ndzuani, on peut constater que trois villages forment une circonscription électorale à’dans son île natale, pendant que Ngazidja et Mwali, un pléthore de villages se regroupe pour former une seule circonscription électorale. Certes cette proposition de loi peut bénéficier l’aval du pouvoir et du bureau de l’assemblée de l’Union étant l’architecte reste l’auteur du rapport sur la citoyenneté économique qui a permis au régime à se débarrasser des candidats les plus gênant lors du double scrutin des 24 mars et 21 avril dernier, mais cette proposition de loi fait défaut à un découpage électoral équitable.
Corriger votre titre, c’est de la désinformation…c’est 9 et non 19…
pauvre Anjouan. Cette fois on va vous la mettre bien profond
Vous vous attendiez à quoi ? Si ce n’est pas Ali c’est Saïd. Qu’est ce que vous avez planifié, n’est ce pas là la continuité du » chien aboie et la caravane passe ».
Les anjouanais sont leurs propres fossoyeurs, on ne les reconnais, et les grands comoriens se frottent les mains. Dire qu »il y a des Anjouanais qui sont content de la détention arbitraire de sambi alors que des ex prisonniers ont retrouvé la liberté, pauvre Anjouan