Quelle cruauté de la part de la justice comorienne et le gouvernement ? L’ancien président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi emprisonné sans jugement depuis plus de deux ans n’a pas été autorisé d’aller faire la prière funèbre du beau-père de son fils qu’ils partagent deux petits fils.
Le juge en charge du dossier de la citoyenneté, certainement par ordre du gouvernement, a refusé la demande formulée par le conseiller de Sambi. Rappelons qu’il s’agit de l’homme d’affaire connu sous le nom de MON GARÇON. Il est décédé la semaine dernière en france. Ses funérailles se déroulent aujourd’hui à Anjouan.
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