Opinion libre: Le gouvernement compte zéro arriéré de salaires sans aucune aide budgétaire extérieure ni injonction venant des institutions de Breton Woods comme on a l’habitude de voir. Des projets de constructions des voiries urbaines (Bambao et Washili à Ngazidja, Domoni à Anjouan, par exemple) sont financés sur fonds propres.
C’est aussi une marque de fierté et d’affirmation de la souveraineté de l’Etat. Les assises nationales organisées en février 2018, c’est des fonds propres dans un pays où le petit séminaire doit toujours faire l’objet d’une quête honteuse auprès des bailleurs étrangers. Ceci au mépris du pays et à sa population.
Msa Ali Djamal
Les Comores ont dépassé le cap des arriérés des salaires depuis longtemps. En 2010,un avion plein des billets ont éponger des dettes salariales sous Sambi, en décembre 2017, sous Dr Iki 66 millions de dollars ont épongé des dettes salariales, des projets des routes et autres. Rappelons que le stade Malouzini, paix à son âme Djohar a signé l’emplacement, Dr Iki a posé la 1ere pierre.
Monsieur, les comores sont un état et non pas une épicerie. Parlons des projets de développement, de la croissance etc.
C’est honteux de dire comme ça,en sachant que le mois de mai 2017 n’est pas encore payé,d’autres arriérés de salaires de beaucoup de mois pour tous les fonctiinnaires comoriens (plus de 20 mois impayés).