Le nouveau président du Conseil National de Transition, Mouigni Baraka Said Soilihi ne peut plus quitter Ntsoudjini. Depuis les événements du 28 mars et sa convocation à la gendarmerie, Mouigni Baraka n’est plus libre de ses mouvements. Il ne quitte pas Ntsoudjini.
Mouigni Baraka vit désormais dans une prison très ouverte. Contrairement au vice-président du CNT, Mouigni Baraka ne se rend plus à Moroni et dans les villes environnantes par peur d’être arrêté.
Sefrik.S, Moroni
C’est dure!vivre en dictature c’est presque l’enfer. Depuis 2016 à l’arrivée de l’imam. C’est toute la population comorienne qui vie en quarantaine avec la destruction d’Elmaarouf.
Uniquement voir les conditions inhumaines dans l’unique structure de référence du pays constituent un motif que l’imam doit se présenter devant la CPI. Et maintenant Monsieurs les politiciens vous le vivaient
Quand on n’a rien à se reprocher, on n’a pas peur d’être arrêté..
Muigni baraka na aucun choix à tu est avec AZALI ou tu quitte le comore sinon les tsoudjinien te protège jusqu’à quand ? le pays est dirigé par un dictateur.