Ils sont unanimes, la présidence tournante doit échoir à l’île d’Anjouan comme le stipule la constitution de 2001 issus des accords de Fomboni et révisée légalement en 2009. Il ne fait aucune doute que la majorité des anjouanais défendront sans commanditaire la tournante.
Interrogés sur la forte présence des militaires, les jeunes ne sont pas inquiets. « La présence des militaires ne constitue pas un souci. Ils sont nos frères et nos sœurs. Ils savent que le dernier mot appartient toujours au peuple. Après l’usage des moyens de la justice, le peuple reprendra son pouvoir. Azali Assoumani le sait très bien », un jeune de Mutsamudu
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