S’attaquer aux injustices en appliquant le droit est préférable que d’enfumer les comoriens.Car, la justice doit se mettre au coeur même de sa mission avant de jouer son spectacle.
Par ailleurs, le déplacement des audiences ne signifie pas que la justice fait son travail. Au contraire, celui-ci, prouve que l’institution est gangrenée voire laminée par la corruption. Par conséquent les corrupteurs qui sont les juges, eux mêmes responsables des injustices sont entrain de théâtraliser les audiences.
Il faut souligner en effet, que dans les pays où le droit est bafouer par les politiques avec la complicité des juges, ces derniers utilisent la justice à des fins de propagande.
En revanche, au lieu de mettre en avant les incohérences de cette institutions qui ne condamne que les faibles et les moins lotis, les juges cherchent à se mettre devant la scène. Sachez qu’un pays sans justice n’est autre qu’un lion qui marche avec la tête.
Où sont les réformes de fond promises par FAHAMI? Ce prétendu avocat, dispose indéniablement des propos salivaires beaucoup plus propre que qui conque au gouvernement. Mais, son génie n’a rien produit de concret. SARTRE disait la chose suivante :il n’y a pas un génie sans œuvre. C’EST ainsi que Spinoza a expliqué que concrétiser les idées dans l’ordre pour avoir un élément concret est plus difficile que d’avoir les idées mêmes.
Donc, il est temps que FAHAMI prouve de quoi est capable de faire pour son passage à la chancellerie.
Imani
cheikh mc disait: » WAWOUZINGUIZA NGUOIWO WAYI NGUAWENA HAKI,
SOU ALA,EWAWO EYA WEHANTSI NDOPVI? EYABIDI YAWABADILI NDOPVI?
WOUTSI RIPVAHe OMBI WOUTSI RIPVAHE TCHAKE
Monsieur Jacob, je suis entièrement d’accord sur le fait que rien peut se faire sans l’ensemble des acteurs. Par ailleurs, FAHAMI, n’est pas un ministre comme les autres tels que KIKI. Car, il est un avocat de formation.celui ci doit maîtriser son sujet. Les magistrats du parquet sont sous sa responsabilité, hormis ceux du siège qui sont souvent indépendants du pouvoir politique. Il faut savoir que les OPJ, c’est à dire les officiers de la police judiciaire sont sous la responsabilité du procureur qui est lui même un préposé du ministre de la justice. Certes, FAHAMI n’a tout le pouvoir, mais il en a quand-même.