Présidentielles 2016: LE CHANT DU CYGNE.
Ca sent le roussis du coté de l’UPDC. Des grandes gueules, habituées à cracher des insanités pour défendre l’indéfendable, demeurent muettes comme une carpe. Leur silence est symptomatique. D’autres, moins lucides, continuent » d’exceller » dans la bêtise et la bassesse en croyant que le pouvoir est leur chasse gardée. Tout cela ressemble à un baroud d’honneur. L’estocade est pour bientôt.
Deja Gouverneur Aby Moussa est séchement battu par Hassani Hamadi. Cette bande de ripoux, sans foi ni loi, qui s’entête à s’accrocher au pouvoir, contre la volonté du peuple, contre l’éthique et la transparence, va bientôt tomber en syncope. L’argent n’achète pas tout.
Quant aux mensonges, aux faux-semblants, aux faux-fuyants, ils ont leur limite. Les Comores, ce n’est pas leur propriété privée. On nous sérine: » Mamadou, le ticket gagnant, Mamadou, l’expérimenté », tout cela n’est qu’un vulgaire attrape-nigaud. L’homme symbolise le chaos, la désilluion. Voter massivement pour lui aurait été un choix plus dangereux, fantaisiste, partisan, donc aux conséquences lourdement fâcheuses. Mais ses partisans sauront- ils être bons perdants? Pas si sûr.
Abderemane Ali
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