Ce jeudi, ils étaient entre 150 et 300 instituteurs à être descendus dans la rue pour demander une augmentation de salaire.
Les instituteurs ont marché dans les rues de la capitale en scandant « MAMADOU NALAWE ». La marche a commencé à la place Karthala jusqu’au stade Ajawo sous la surveillance de la gendarmerie.
Mohamed Ali Mbamba, secrétaire syndicat national des instituteurs comoriens (Snic) a déclaré « Nous sommes fatigué c’est pourquoi nous avons choisi de prendre la route aujourd’hui ».
Au cours de la manifestation des instituteurs, le mouvement a été rejoint par le Syndicat national des professeurs comoriens (Snpc) qui s’estime lui aussi trahi par le gouvernement.
Les enseignants réclament une mise en application du protocole qui concerne environ 5.000 enseignants qui devaient bénéficier de certains droits salariaux : titularisations, avancements à hauteur de 50 % ou encore des intégrations de diplômes.
Misam
cher Mr Mohamed,un etat doit prendre sa responsabilite envers sa population,si aujourd’hui, on se truve dans cette situation, c’est simplement, le manqué de vrai responsible politique dans notre pays,si l’anarchie reigne,ce ne pas la faute du cultivateur ou le pecheur.ce la faute a ces apprenties sorciers qui n’ont aucune vision social dans notre pays. Mr Mouhamed,vous devez regarder le vrai picture de notre pays, pour commenter les evenements de notre pays de cette sorte.
moi,chu pas contre ce que veulent nos chers frères et sœurs.Mais franchement chu contre ce qu’ils disent.Parce que réclamer votre bien,ne se réclame par des insultes.On sait pas exactement ceux qu’ils veulent.a mon avis ils ont des intérêts internes que leurs études.
Il est bien beau de reclamer des augmentations salariales, mais le droit de recevoir un enseignement de qualité mérite d’être vérifié sur nos ‘mwana’. Le mal qui touche l’enseignement ne se situe pas seulement au non respect des engagements du Gouvernement mais aussi au non respect de ce métier noble que tout le monde veut aujourd’hui se l’approprier. Chers enseignants du primaire et sécondaire, il est temps que vous sachiez que la qualité de vos enseignements sont médiocres, certains d’entre vous n’ont pas le niveau car issus des écoles non reconnues par leurs Etats: faux diplômes, falsifications des documents bref un désordre invraisemblable. Alors, stop vos revendications car le métier d’enseignent est un métier noble et les vrais enseignants sont sortis des écoles spécialisées (Ecoles Nationales d’Enseignements).