Alors qu’aucunes mesures strictes ne seraient prises par notre gouvernement.
Depuis la restriction des Voyages entre nos Îles (Trafic aérien et maritime entre Anjouan et Mayotte), on a constaté l’accentuation des Koissa Koissa qui font le chemin inverse (Mayotte _ Anjouan).
Cela fait deux jours que des Koissa en provenance de l’Île de Mayotte accostent sur les plages de Domoni Anjouan.
Certes, l’accès à Anjouan des habitants de l’archipel des Comores relève une libre circulation des personnes, mais en cette période de pandémie de Coronavirus, Qui a le droit de voyager ?
Quelles sont les restrictions ?
– Notre gouvernement n’a parlé que « Limiter les cérémonies, à réduire Le nombre de participants aux cérémonies, mais elles ont lieu toujours ».
> Des habitants Bravent le confinement pour prendre Le Koissa Koissa – Pourquoi veulent-ils fure Mayotte ?
< Interrogé par un de nos journalistes, un passager d’un koissa en provenance de Mayotte ce vendredi soir, Pourquoi Il se retrouve face à un choix pareil ? Ce dernier laisse entendre que : « Avancer et venir à Anjouan, c’est mourir ; rester à Mayotte, c’est mourir aussi. Alors, mieux vaut avancer et mourir. »
– Pourquoi un tel afflux de Mayotte vers Anjouan ?
Pourquoi ces gens prennent-ils des risques sachant que dans le cas où parmi les voyageurs en koissa, Si y’en a qui sont porteurs du Covid_19, l’île d’Anjouan va se trouver dans un grand danger ?
Les autorités sur place n’ont pas encore les moyens nécessaires pour s’épargner, n’en parlons pas un centre de placement en quarantaine qui est en réflexion.
> Que disent les autorités sanitaires ?
Le Directeur de la santé de l’Île d’Anjouan a dit qu’au cas où des personnes soupçonnées de la maladie, ces dernières seront diagnostiquées au CHR de Hombo, ceux qui seront testés positifs aux frontières iraient à l’école de Police de Ntrenani Anjouan.
Par Naouir Eddine Papamwegne/
Les rats retournent dans leurs terriers qu’on dit. Vous devez être habituer maintenant, vu qu’à chaque événement dramatique, ils pensent trouver refuge chez eux. Toibiya za mayahoudi: même les masques que vos compatriotes régularisés pillent au chm pour vous les envoyer ne vous serviront au moment venu car Haram. Ouhara wassiya oulawa massiya : les mahorais n’ont pas écoutés leurs aïeux , aujourd’hui ils regrettent » moussiri tsanganissé na watrou wawo, non karivindzé ». Je n’oublierai jamais les histoires de mes vieux me disant lorsque vos ancêtres debarquiez à Mayotte pour voler dans leurs champs et aujourd’hui je constate que çà n’a jamais cessé au fait, que lorsque ils venaient vendre leurs produits sur vos marchés, vous les dégageaient à coups de pieds. Allah seul vous répondra car le Mahorais n’est pas bagarreur