C’était prévisible. Le bombardement par des balles réelles tirées en l’air hier et les les lacrymogènes utilisés à Ntsudjini hier avaient pour but de terroriser cette ville qui demeure une des celles qui résistent à la dictature du régime en place. Ce matin l’on a appris que les forces de l’ordre commençaient à se retirer à l’intérieur de la ville à partir de 10h.
Selon plusieurs témoignages, l’armée aurait lancé l’ultimatum suivant : « si vous manifestez encore, nous reviendrons et nous nous installerons pendant 5 jours », auraient promis les militaires qui étaient sur place, précisant également que c’était l’ordre qu’ils ont reçu par leurs supérieurs
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