Dans le cadre d’une série d’articles sur les personnalités et événements majeurs qui ont accompagné l’année 2016, aujourd’hui, la rédaction de votre site d’actualité se penche sur le président de la Ceni.
Negativement : Djaza Mohamed
Le contraste est saisissant entre ceux qui ont voulu que les urnes triomphent et ceux qui étaient prêts à tout pour démentir la vérité qui est sortie des bureaux de vote. Dans ce combat déloyal, le chef de guerre n’était autre que l’insatiable président de la Ceni d’alors je nommé Dr Djaza Mohamed. Animé d’une volonté farouche pour faire élire Mohamed Ali Soilih alias Mamadou, le président de la Ceni a affiché une mauvaise fois inébranlable et une soif de victoire incommensurable au point de renier la démocratie. Non seulement il a manigancé en interne pour obtenir l’organisation d’un troisième tour des élections pour la première fois, mais aussi, il a failli réussir son coup en dérobant les urnes et les bulletins. Dès la fermeture des bureaux des votes lors des élections du troisième tour à Anjouan, Djaza s’est emparé des résultats, s’est engouffré dans un 4*4 et sa direction, Ngazidja. Il avait tout planifié pour voler le scrutin bien qu’il déclara plus tard que « sa vie était en danger de mort ». Sa volonté de nuire le pays n’avait aucune limite.
Djaza est un impassible magouilleur et un imperturbable dictateur. Pendant la période électorale, aucun membre de la Ceni n’osait prendre la parole et le rapport de la cour des comptes qui faisait état de 153 millions utilisés sans justificatifs, les résultats ont démontré que seul Djaza effectuait des opérations financières et sans même la présence ni l’aval d’un comptable. Rattrapé par la justice, Djaza se trouve actuellement sous contrôle judiciaire. La rédaction considère ce monsieur comme étant l’un des pires dirigeants que notre pays ait connus.
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