La délibération du premier tour de l’examen du BEPC a vu certains réclamer la suppression des sous-centres. Et ce n’est pas le second tour qui va inverser la tendance et faire changer d’avis.
En effet, tous les acteurs du milieu se montrent unanimes pour dire que les examens sont mal passés. Là où la majorité des observateurs estiment que la faute revient aux élèves qui se montrent plus inspirés pour tricher que pour étudier leurs cours, Ahmed Saadi ancien commissaire à l’éducation de Ngazidja penche pour une faute plutôt collective. Selon ce dernier, « il faudrait avoir une commission nationale pour essayer de trouver les causes et solutionner les maux qui gangrènent le milieu scolaire ».
À l’en croire, la faute revient aussi bien « à l’État, aux professeurs, aux élèves et même aux parents qui n’assurent pas forcément une éducation saine dans leurs foyers respectifs ».
Med Youssouf, Comores infos à Moroni
Halane Dragon: encore un bouffon alcoolisé et qui s’empiffrent de MABAWAS tous les jours. Renseigne-toi combien de jeunes Mahorais réussissent dans leurs études et combien arrivent à avoir un boulot administratif bien considéré et bien rémunéré.Tu trouveras que les wazoungous ont tout accaparé.
Au lieu de soutenir tes compatriotes tu vomit ta haine sur eux. C’est finalement toi qui est châtié par ALLAH pour être aussi écervelé comme pas possible